On décrit souvent la vidéo à la demande, et désormais la vidéo à la demande sur abonnement (SVOD); on évoque moins la télévision de rattrapage (ou catch-up TV), qui est pourtant un succès dans bien des pays. En témoignent les résultats de services comme Hulu aux États-Unis, BBC iPlayer en Grande-Bretagne, ou même ABC iview en Australie. En témoigne également la consommation de services de rattrapage en France utilisés au moins une fois dans l’année par 72 % des Internautes en 2014. Quelle est, dès lors, l’ampleur de la télévision de rattrapage dans différents pays ?
Dans la plupart des pays développés, l’audience de la TV en direct (ou live) enregistre une décrue depuis plusieurs années. La faute sans doute à la montée en gamme d’Internet et de ses usages dérivés (mail, jeux vidéo, radios, musique, etc.) qui pèse sur les budgets-temps des individus. Dès lors, le rattrapage est-il en mesure de compenser la perte d’audience? Peut-il en parallèle rajeunir les publics de la télévision? Quels revenus sont tirés de la télévision de rattrapage? Peuvent-ils devenir significatifs pour les chaînes ? Enfin, sur quelle partition direct / à la demande peut-on tabler à l’avenir ?
Sommaire de l’étude
- Synthèse de l’étude
- Evaluation des audience de la TV linéaire
- Pénétration du DVR
- Poids du rattrapage
- Les grands acteurs
- Contribution financière
- Allemagne
- Le marché
- RTL Interactive
- Australie
- Le marché
- ABC iview
- Etats-Unis
- Le marché
- Hulu
- France
- Le marché
- MyTF1, Pluzz, 6play
- Grande-Bretagne
- Le marché
- BBC iPLayer
77 pages, 71 graphiques, 9 tableaux
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