VidéoScope 2017, 3ème édition

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La première étude globale qui décortique l’ensemble des consommations TV et vidéo

Cette étude est la première à englober dans une mesure unitaire l’ensemble de la consommation vidéo (programmes TV, vidéos) sur tous les supports présents au domicile : 2 000 Français ont répondu sur le temps passé, la qualité d’écoute, l’attention portée à la publicité des contenus audiovisuels et vidéo regardés la veille.

Afin d’avoir une vision globale sur la manière dont les Français se sont emparés de tous les modes d’accès aux images (télévision en direct ou en rattrapage, vidéos en ligne, enregistrements, streaming, DVD-Blu-ray, VOD-SVOD) accessibles sur différents écrans (téléviseur, PC, tablette tactile, smartphone, console portable) au sein du foyer, Scholè Marketing a lancé ce baromètre de la consommation Vidéo qui en est à sa 3ème édition.

Quelques conclusions tirées de cette étude riche d’enseignements.

La vidéo est, de loin, le premier loisir sur écran

Figure 1 : Vidéo vs autres loisirs sur écran, VidéoScope 2017

Avec 3h26 de consommation par individu par jour (DEI), la vidéo demeure le premier loisir sur écran devant le surf Internet, le jeu vidéo, ou les réseaux sociaux. Mais les écrans occupent un temps de loisir grandissant, sans doute pris sur le temps de sommeil.

Les services de vidéo non linéaires se développent

Figure 2 : Audience des services vidéo, VidéoScope 2017

  • 89% des Français passent au moins un moment de leur journée devant un écran pour regarder une émission de télévision ou une vidéo.
  • La télévision en direct est le premier loisir vidéo avec 63% des individus qui la regardent tous les jours, et 34% qui la regardent de manière exclusive.
  • 29% des Français consultent également des services vidéo de complément ou à la demande, que ce soit de la vidéo en ligne, du rattrapage, ou des enregistrements personnels.
  • L’année 2017 se caractérise par une hausse notable de l’ensemble des services avancés de vidéo (+5%), aux premiers rangs desquels la SVOD (+6%), le rattrapage (+3%), et la vidéo en ligne (+3%).

Les nouveaux supports sont adoptés par les plus jeunes

Figure 3 : TV en direct et nouveaux services, VidéoScope 2017

Sans surprise, les nouveaux services vidéo sont adoptés par les plus jeunes. Cela ne signifie pas qu’ils délaissent la télévision classique, mais ils la complètent avec les services à la demande (vidéo en ligne, rattrapage, SVOD, streaming, etc.). Si leurs aînés ont souvent la télévision comme loisir de soirée exclusif, les jeunes usent d’une palette riche de services vidéo.

Perspectives de la Social TV, analyse internationale

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Dès la mise sur le marché du premier iPhone (9 janvier 2007), sortent de premières applications d’accompagnement à la télévision comme BeeTV  (discuter autour de la télévision) ou Buddy TV (guide de programme TV). Mais, c’est à partir de 2010 (sortie de l’iPad en avril 2010) que les applications se multiplient et on en dénombre plus d’une vingtaine. Tous ces services bénéficient de l’incroyable développement d’applications dans les magasins centralisés comme l’appStore.

Source : Technicolor

Si la Social TV suscite beaucoup de « buzz », il convient toutefois de mesurer la réalité et l’impact de ce marché. Quels sont les acteurs qui organisent les dispositifs de Social TV ? Quels résultats affichent-ils en termes d’interaction ? Quelles sont les perspectives ? Qu’en est-il des acteurs traditionnels (éditeurs de programmes ou même réseaux sociaux) ?

L’impact de la Social TV

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La télévision sociale (ou social TV) recouvre toutes les interactions qui peuvent avoir lieu avant, pendant et après la diffusion du programme à l’antenne : voter, jouer, poser des questions, commenter, recommander, critiquer, etc. Bref, le spectre de la social TV est très large et ne se résume pas aux seuls commentaires publiés en direct.

Scholè Marketing a conduit en juillet une enquête approfondie quantitative et qualitative auprès de 1 000 internautes pour apprécier les attentes en termes d’interactions et l’impact dans la relation des auditeurs aux programmes ou aux chaînes TV.

Loin d’être l’apanage d’une petite frange de la population particulièrement adepte des réseaux sociaux, la capacité de discuter autour des programmes ou d’interagir avec une production ou des animateurs est recherchée par la plupart ; seuls diffèrent les moyens pour y parvenir, blogs, forums et sites des chaînes pour certains, réseaux sociaux pour les plus jeunes. Et ceci s’inscrit dans un mouvement généralisé de notation, évaluation et discussion autour des biens et services. Compte tenu des attentes énoncées par les internautes, une grande majorité d’entre eux pourrait s’être converti à la télévision sociale à court terme.

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