VidéoScope dans “Les + de la TV 2018” (SNPTV)

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Le guide “LES + DE LA TV 2018” est sorti !

Outil de référence des professionnels des médias, chaque année le guide propose une vision complète permettant de mieux comprendre et appréhender le marché de la télévision et de la publicité télévisée.

Les + de la TV édité par le SNPTV mettent en évidence plusieurs indicateurs issus de l’étude VidéoScope :

  • La TV en direct majoritairement regardée à domicile (p. 54)
  • La télévision, le média quotidien (p. 55)
  • La télévision rythme les soirées des Français (p. 56)
  • Le téléviseur : écran privilégié pour visionner des vidéos (p. 62)
  • Le téléviseur : écran privilégié pour regarder des vidéos ou la télévision en direct (p. 63)
  • La télévision en direct : type de visionnage quotidien le plus courant (p. 64)
  • Focus âges (p. 65)

Usages et pratiques des outils de communication en entreprise

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En contrepoint de l’enquête auprès des entreprises (1000 entreprises interrogées) qui renseigne sur la pénétration des outils de communication et les intentions d’investissements des entreprises (Observatoire des Télécoms en Entreprises), Scholè Marketing enquête auprès des salariés (1000 travailleurs sur écran) pour savoir quels sont les usages effectifs des outils de communication. Il ne suffit pas de disposer des équipements, encore faut-il les utiliser.

L’étude 2018 est parue!

Les outils de communication en entreprises sont-ils utilisés, et avec quelle fréquence ? Quelle appréciation les salariés ont-ils de ces outils ? Les communications électroniques ou virtuelles sont-elles appelées à détrôner le téléphone fixe ? Voire le mobile ? Les salariés sont-ils débordés par la multiplication des outils de communication ou arrivent-ils à les gérer correctement ?

Des salariés en attente de plus d’outils de communication

Malgré le développement des outils de communication en entreprises (téléphone fixe, téléphone mobile, micros-casques, outils de téléconférence, mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux, softphones, indicateurs de présence, etc.), les salariés n’en plébiscitent véritablement que trois : le téléphone fixe (toujours le principal outil), le mail, et le téléphone mobile.

Si les outils électroniques comme les réseaux sociaux professionnels, la messagerie instantanée, les logiciels de téléphonie, les solutions de téléconférence étaient déployés, les salariés non utilisateurs s’en serviraient. Ce qui contribuerait à doubler l’audience de ces outils et préparerait le développement des communications unifiées.

Il y a donc aujourd’hui un décalage important entre les attentes des salariés et ce que leur entreprise leur met à disposition. Ce qui explique que nombre d’entre eux  apportent leurs outils personnels au travail (smartphone, tablette).

Indicateurs-clés fournis par l’étude

  1. Les pratiques de travail en entreprises
  2. Les équipements utilisés et le BYOD
  3. Pratiques de la téléphonie fixe et mobile
  4. Visioconférence en salle
  5. Usage des outils électroniques de communication
  6. Usage des outils collaboratifs
  7. Usages des solutions de communications unifiées
  8. Intentions d’usage d’outils innovants
  9. Taux de présence des solutions utilisées et des acteurs

Méthodologie

Enquête Internet auprès d’un échantillon de 1000 travailleurs sur écran  (PCet/ou téléphone). Intervalle de confiance de 3,1% à 95%. Données redressées sur la taille, le secteur d’activité et la zone géographique pour une parfaite représentativité de l’échantillon.

Le marché de la télévision adressable : enjeux et perspectives

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On désigne par télévision adressable la possibilité pour la télévision de diffuser des publicités en fonction de publics cibles. Cela suppose que le diffuseur
puisse techniquement diffuser des publicités distinctes dans les foyers ; cela suppose également que le diffuseur puisse qualifier finement l’audience au-
delà des critères sociodémographiques classiques.

La télévision adressable

La domination publicitaire de la télévision s’appuie historiquement sur sa capacité à toucher chaque soir 70 % à 80 % de la population pour des durées d’écoute longues de 3 heures à 5 heures. Cela en fait un média incomparable pour les publicitaires. Toutefois, cette suprématie est aujourd’hui contestée par Internet qui prétend tout autant être un média de masse, tout en permettant un ciblage publicitaire inédit en télévision : ne sont destinataires des publicités que les Internautes préalablement ciblés. Finies (en théorie) les pertes de budgets sur des foyers ou des personnes non intéressées par le produit.

On désigne par télévision adressableAnglicisme traduisant de manière littérale le terme anglo-saxon de « Addressable TV ». On peut également parler de télévision adressée, ou en termes plus français de publicité TV segmentée ou de publicité TV ciblée. Tous ces termes sont équivalents. la possibilité pour la télévision de diffuser des publicités en fonction de publics cibles. Cela suppose que le diffuseur puisse techniquement diffuser des publicités distinctes dans les foyers, chose rendue possible par les box de dernière génération ou les téléviseurs connectés; cela suppose également que le diffuseur puisse qualifier finement l’audience au-delà des critères sociodémographiques classiques pour envisager des segmentations qui concurrencent la publicité digitale.

La télévision adressable recouvre une double réalité

La télévision à la demande adressable

Les nouveaux services télévisés, qu’il s’agisse de télévision à la demande (rattrapage, vidéo à la demande) ou de TV everywhereTélévision accessible sur tous les écrans., parce qu’ils sont issus le plus souvent d’Internet, disposent d’énormément de données pour cibler l’audience, données issues de la navigation Internet ou des données de consommation des box. Les publicités pré-rollPublicité diffusée juste avant le programme TV demandé à la demande. C’est le format le plus répandu. Il y a également des publicités mid-roll (au milieu du programme), voire post-roll (après le programme). avant le programme en rattrapage peuvent être ainsi ciblées de manière très fine à l’instar de la publicité digitale. Ces services étant fournis à la demande ou sur Internet, il est relativement facile d’insérer des publicités ciblées. C’est le premier segment, et le plus immédiat de la télévision adressable.

La télévision traditionnelle adressable

Le segment le plus problématique vise à transformer la télévision traditionnelle (linéaire et sur le téléviseur) en télévision adressable, via les box qui peuvent permettre d’insérer des publicités en fonction des caractéristiques de l’audience ou via des téléviseurs connectés. L’opération est double : il s’agit d’enrichir la connaissance réelle que l’on peut avoir des auditeurs; mais également d’insérer des publicités dans le flux linéaire en fonction du ciblage. L’enjeu de la télévision adressable se situe dans la capacité à transformer la télévision traditionnelle, qui collecte les recettes publicitaires les plus importantes.

Pour la télévision financée par la publicité, il s’agit de conjuguer puissance et segmentation pour répondre à la menace de la publicité digitale, et éviter ou limiter la fuite des annonceurs vers Internet. Ce faisant, les diffuseurs peuvent faire valoir plusieurs arguments en leur faveur (cf. fig. [fig:TVAdressable-DigitalAd-1]) : il n’existe pas de bloqueurs de publicité en télévision; les publicités sont plein écran; l’audience est réelle, elle n’est pas simulée par des robots (scripts) qui cliqueraient artificiellement sur la publicité.

Empreinte de la télévision adressable

La télévision reposant initialement sur une technologie de diffusion (broadcast) ne se prête pas à la segmentation des contenus. Mais la démocratisation d’offres payantes CabSatDSLvia des box ou le développement de standards de téléviseurs connectés tels HbbTVHybrid Broadcast Broadband TV. peuvent autoriser, moyennant aménagements, des contenus ciblés.

HbbTV

est un standard de communication permettant de bénéficier de services interactifs avec les programmes des chaînes TV. Destiné à enrichir les programmes diffusés par les chaînes TV avec des contenus additionnels disponibles dans les flux TNT et sur Internet, HbbTV permet d’obtenir des informations sur le programme diffusé par une chaîne TV (acteurs, filmographie des acteurs, etc.), de revoir ultérieurement les programmes (TV de rattrapage), d’accéder à un guide des programmes détaillé, à des jeux, de voter lors des émissions, de participer à des sondages, de partager des images et des commentaires relatifs aux programmes sur les réseaux sociaux, etc.

Il faut cependant que les box soient de dernière génération, et que les téléviseurs HbbTV aient été activés. En sorte que la télévision adressable ne peut toucher l’ensemble des foyers TV. Aux États-Unis, 42 % des foyers TV seulement sont adressables en 2016, mais 55 % en Grande-Bretagne, 43 % en Allemagne (forte pénétration du standard HbbTV), 36 % en France, et 23 % en Italie (cf. fig. [fig:Empreinte-TVAdressable-EuropeUSA]).

Mais l’adressabilité des foyers va augmenter. Selon VABVAB, 74 % des foyers TV seront adressables aux États-Unis en 2020, et selon les calculs du SNPTVSNPTV 52 % des foyers seraient adressables en France en 2022.

Quel marché pour un logiciel de gestion automatique de compétences (GPEC) ?

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Les opérateurs de bouquets (TV payante) face aux opérateurs SVOD

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Avec les sites de vidéos en ligne, les services de vidéo à la demande sur abonnement constituent la grande innovation audiovisuelle de la décennie. Parce que des services comme Netflix, Amazon Video ou Hulu ont conquis un vaste public, tout en bouleversant les modes d’écoute – on est passé d’une écoute dictée par les grilles des chaînes à une écoute délinéarisée – et les modèles économiques en vigueur qui privilégiaient jusqu’alors des paiements pour chaque vidéo.

Netflix, inventeur des services de vidéos sur abonnement, revendique 104 M d’abonnés au troisième trimestre 2017 pour une présence sur 190 pays, et ce en vingt ans d’existence seulement.

Le succès des services de vidéos sur abonnement pose deux grandes questions :

Quel est l’impact de ces services sur les services audiovisuels classiques ?

Est-ce que cela détourne les spectateurs de la télévision linéaire ? Est-ce qu’ils se désengagent des services à péage traditionnels, nettement plus coûteux que les services de SVOD  ? On évoque fréquemment aux États-Unis les cord-cutters, voire les cord-nevers, c-à-d. les foyers abandonnent leurs abonnements au câble ou au satellite au profit de seuls services SVOD ou les jeunes foyers qui ne s’abonnent même plus aux offres payantes classiques. Qu’en est-il réellement ? Les opérateurs CabSat ont-ils enregistré des taux de désabonnement records ?

Comment les éditeurs et les opérateurs de TV payante ont-ils répliqué à la nouvelle concurrence des sites de SVOD ?

En 2005, des experts prédisaient la fin de la télévision traditionnelle, les auditeurs se détournant de grilles contraignantes pour piocher dans des bases de données vidéo toujours plus fournies. Force est de constater que même sur les marchés les avancés d’Amérique du Nord, Netflix n’a pas remplacé les Networks ou fait disparaître les chaînes payantes comme HBO ou Starz!. Quelles ont été les stratégies mises en œuvre par les chaînes et les opérateurs de bouquets pour contrecarrer les services de SVOD ?

Nous nous appuyons, pour notre analyse sur l’examen du paysage audiovisuel nord-américain, le plus en avance en termes de concurrence des nouveaux services. À ce titre, il constitue une image en avance de phase de ce à quoi nous pouvons nous attendre en Europe.

Les communications unifiées : quels apports pour les entreprises ?

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Livre blanc pour le compte d’Apps2Com

Cela fait près de 10 ans que l’on évoque les communications unifiées en entreprises.

Force est de constater, malgré les multiples présentations et livres blancs qui se sont succédés, que le concept en demeure encore quelque peu mystérieux du point de vue des entreprises. De même, ce sont souvent les très grands comptes qui en bénéficient alors que les entreprises moyennes ou petites en restent aux outils de communication classiques que sont le téléphone ou le mail.

Nous voudrions partager une conviction : les communications unifiées vont se déployer et toucher à terme toutes les entreprises. Parce que les individus ou les jeunes générations introduisent de nouveaux supports en entreprises comme la messagerie instantanée ou les réseaux sociaux. Parce que les outils traditionnels sont saturés – voyez l’inflation de mails quotidiens que nous devons traiter. Parce qu’enfin les nouvelles formes de commercialisation (services dans le « cloud » avec un paiement à l’usage) rendent aujourd’hui l’implémentation de nouveaux services bien plus aisée dans les entreprises que l’installation des PABX hier.

Ces nouveaux outils sont source de productivité dans l’entreprise en décuplant la capacité à joindre des prospects ou à faire travailler ensemble des partenaires distants. Et ils sont nécessaires pour que l’entreprise entre de plain-pied dans la transformation digitale.

 

Unified Communications – Source Mitel

VidéoScope 2017, 3ème édition

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La première étude globale qui décortique l’ensemble des consommations TV et vidéo

Cette étude est la première à englober dans une mesure unitaire l’ensemble de la consommation vidéo (programmes TV, vidéos) sur tous les supports présents au domicile : 2 000 Français ont répondu sur le temps passé, la qualité d’écoute, l’attention portée à la publicité des contenus audiovisuels et vidéo regardés la veille.

Afin d’avoir une vision globale sur la manière dont les Français se sont emparés de tous les modes d’accès aux images (télévision en direct ou en rattrapage, vidéos en ligne, enregistrements, streaming, DVD-Blu-ray, VOD-SVOD) accessibles sur différents écrans (téléviseur, PC, tablette tactile, smartphone, console portable) au sein du foyer, Scholè Marketing a lancé ce baromètre de la consommation Vidéo qui en est à sa 3ème édition.

Quelques conclusions tirées de cette étude riche d’enseignements.

La vidéo est, de loin, le premier loisir sur écran

Figure 1 : Vidéo vs autres loisirs sur écran, VidéoScope 2017

Avec 3h26 de consommation par individu par jour (DEI), la vidéo demeure le premier loisir sur écran devant le surf Internet, le jeu vidéo, ou les réseaux sociaux. Mais les écrans occupent un temps de loisir grandissant, sans doute pris sur le temps de sommeil.

Les services de vidéo non linéaires se développent

Figure 2 : Audience des services vidéo, VidéoScope 2017

  • 89% des Français passent au moins un moment de leur journée devant un écran pour regarder une émission de télévision ou une vidéo.
  • La télévision en direct est le premier loisir vidéo avec 63% des individus qui la regardent tous les jours, et 34% qui la regardent de manière exclusive.
  • 29% des Français consultent également des services vidéo de complément ou à la demande, que ce soit de la vidéo en ligne, du rattrapage, ou des enregistrements personnels.
  • L’année 2017 se caractérise par une hausse notable de l’ensemble des services avancés de vidéo (+5%), aux premiers rangs desquels la SVOD (+6%), le rattrapage (+3%), et la vidéo en ligne (+3%).

Les nouveaux supports sont adoptés par les plus jeunes

Figure 3 : TV en direct et nouveaux services, VidéoScope 2017

Sans surprise, les nouveaux services vidéo sont adoptés par les plus jeunes. Cela ne signifie pas qu’ils délaissent la télévision classique, mais ils la complètent avec les services à la demande (vidéo en ligne, rattrapage, SVOD, streaming, etc.). Si leurs aînés ont souvent la télévision comme loisir de soirée exclusif, les jeunes usent d’une palette riche de services vidéo.

Les stratégies audiovisuelles des GAFA

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Stratégies des GAFAs en matière de vidéo

Les GAFAs (GoogleGoogle, AppleApple, FacebookFacebook, AmazonAmazon) ou géants du web désignent les sociétés mondiales qui dominent les nouveaux services Internet. Ils interviennent sur les nouveaux services (moteurs de recherche, réseaux sociaux, messagerie…), mais aussi sur les nouveaux équipements numériques (tablettes, smartphones, passerelles multimédias, montres connectées, voitures autonomes, etc.).

La vidéo et l’audiovisuel sont en train de muter. De nouveaux contenus sont accessibles sur Internet (vidéos en ligne), les contenus traditionnels sont mis à la disposition à la demande (VOD, SVOD, télévision de rattrapage), aux supports physiques (DVD, Blu-ray) succèdent des modes d’accès dématérialisés (VOD, SVOD, EST). Les géants du web sont à la manœuvre pour susciter de nouvelles consommations vidéo afin de détourner de l’audiovisuel classique les revenus du péage (Netflix) ou de la publicité (YouTube).

Et les GAFAs font partie des plus grandes capitalisations boursières au monde selon un classement de PwC au 31 mars 2016. A l’époque, Apple est valorisé 604 milliards de dollars, Alphabet 518 milliards de dollars, Microsoft 437 milliards de dollars, Facebook 325 milliards de dollars, et Amazon 280 milliards de dollars…

Les premières capitalisations boursières – Source PwC

Qu’en est-il des stratégies des géants du web en matière de vidéo ? Quels sont les revenus des nouvelles formes de vidéos ? Dans quelle mesure concurrencent-elles l’audiovisuel traditionnel ?

Schéma de l’étude

  1. Synthèse
    1. Le poids des GAFAs
    2. Le chiffre d’affaires diffusion vidéo
    3. Le chiffre d’affaires ventes de contenus
    4. Le positionnement vidéo des GAFAs
  2. Les GAFAs dans l’audiovisuel
    1. Alphabet (Google, YouTube, Android TV, Chromecast, Google Play)
    2. Amazon (Amazon Prime, Video, Studios, Fire TV, AWS)
    3. Apple (iTunes Store, Apple TV)
    4. Facebook
    5. Hulu
    6. Netflix

Livre blanc : regards d’experts sur l’arrêt du RTC

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Impact sur les entreprises et conséquences sur l’écosystème

Pour le compte du CDRT (Club des Dirigeants Réseaux et Télécoms), Scholè Marketing a élaboré un livre blanc sur l’impact de l’arrêt du RTC pour les entreprises.

Orange, (ex. France Télécom), a annoncé le 18 février 2016, qu’il allait procéder à l’arrêt du réseau historique d’acheminement des communications téléphoniques, le Réseau Téléphonique Commuté (RTC).

Construit autour des années 80, le réseau téléphonique commuté (lignes analogiques et numériques[1]) est basé sur une technologie en fin de vie. Selon l’opérateur historique, les constructeurs et équipementiers ne fabriquent plus les commutateurs, et les salariés ne sont pas formés à cette technologie. En sorte que la maintenance est coûteuse, et de plus en plus difficile avec une qualité de service qui risque de chuter.

Figure 1 : CALENDRIER D’ARRET DU RTC – SOURCE ORANGE

En parallèle, la Voix sur IP a pénétré largement les foyers via les box multi-services (ou multiplay) des fournisseurs d’accès Internet. Et au troisième trimestre 2016, sur 39 M d’abonnements au téléphone fixe (grand public et entreprises), on compte 27,2 M d’abonnements en Voix sur IP (70 %), et seulement 11,8 M d’abonnements téléphoniques en RTC (30 %).

La France compte 4,7 M d’entreprises, dont 3,3 M d’entreprises sans salariés[1]. L’Arcep[2] comptabilise 9,4 M d’abonnements à la téléphonie fixe par les entreprises, soit 2 abonnements par entreprise en moyenne.

Quels sont les usages en entreprises pour les accès analogiques et numériques ? Ces usages sont relativement nombreux comme on le voit dans le tableau ci-dessous.

Tableau 1 : USAGES DU RTC DANS L’ENTREPRISE – SOURCE SCHOLÈ MARKETING

VidéoScope 2016

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Scholè Marketing sort pour la deuxième année et en partenariat avec Publicis Media le Baromètre des comportements vidéo.

VidéoScope 2016

Afin d’avoir une vision globale sur la manière dont le téléspectateur s’est emparé de tous les modes d’accès aux images (télévision en direct ou en rattrapage, vidéos en ligne, enregistrements, streaming, DVD-Blu-ray, VOD-SVOD) accessibles sur différents écrans (téléviseur, PC, tablette tactile, smartphone, console portable) au sein du foyer, Scholè Marketing et Publicis Media ont lancé en partenariat un vaste programme d’études.

Cette étude est ainsi la première à englober dans une mesure unitaire l’ensemble de la consommation vidéo (programmes TV, vidéos) sur tous les supports présents au domicile : 2.000 Français ont répondu sur le  temps passé, la qualité d’écoute, l’attention portée à la publicité des contenus audiovisuels et vidéo regardés la veille.

Les services de vidéo non linéaires se développent

Tous les Français (97%) passent au moins un moment de leur journée devant un écran pour regarder une émission de télévision ou une vidéo.
La télévision en direct est le premier loisir vidéo avec 81% des individus qui la regardent tous les jours.49% des individus regardent exclusivement la télévision en direct et 48% consultent également des services vidéo de complément ou à la demande, que ce soit de la vidéo en ligne, du rattrapage, ou des enregistrements personnels.
Consommation multi-vidéos

Problématiques de l’étude

  1. Quelle est l’attractivité de la télévision traditionnelle au regard des nouvelles formes de vidéo (vidéo en ligne, télévision à la demande ou replay, VOD et SVOD, streaming) ?
  2. La télévision linéaire est-elle encore efficace en tant qu’outil publicitaire du fait de la concurrence des nouvelles formes de vidéo ? et des nouvelles formes de consommation audiovisuelle qui voient les comportements dits « multitâches » se généraliser ?

Domaine de définition

Il s’agit d’englober dans une mesure unitaire l’ensemble des vidéos vues par les Internautes à domicile durant toute la journée, que ce soit au travail ou dans la soirée. Et d’évaluer corrélativement la durée de consommation pour chacune d’entre elles.
On examine donc la consommation des programmes ou vidéos suivants, et ce quel que soit l’écran :
  • La télévision en direct
  • La télévision en rattrapage (Replay)
  • La vidéo enregistrée
  • La vidéo en streaming ou en téléchargement
  • La vidéo sur DVD ou Blu-ray
  • La VOD
  • La SVOD
  • La vidéo en ligne

Dispositif mis en place

Carnet de consommation sur 2 semaines auprès de 2.000 internautes à domicile à raison de 100 par jour environ la semaine et 250 par jour environ le week-end. Parmi les principaux indicateurs :
  1. Consommation vidéo : TV en direct, en rattrapage, vidéo enregistrée, DVD-Blu-ray, vidéo en streaming, VOD, SVOD, vidéo en ligne
  2. Chaînes ou services visionnés
  3. Nombre de sessions de visionnage par format vidéo
  4. Durée d’écoute par format vidéo, par écran
  5. Caractère monotâche ou multitâche du visionnage
  6. Niveau d’attention à la publicité selon le format vidéo, selon l’écran
  7. Activités pendant la publicité
  8. Attitudinal : rapport aux technologies, préférences de formats vidéo, de programmes TV, d’écrans
  9. Équipement TV, abonnements TV, pratiques vidéo au cours des 3 derniers mois, activités sur les réseaux sociaux

Perspectives du Cloud DVR

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De la télévision de rattrapage à l’enregistrement en réseau

Le cloud DVR, autrefois appelé Network PVR ou nPVR consiste à déporter dans le réseau les capacités d’enregistrement incluses dans les set-top-box fournies par les opérateurs de télévision à péage. On se souvient de la naissance des premiers enregistreurs numériques (type TiVoTiVo) qui ont succédé au magnétoscope ; ces équipements ont été largement diffusés par les opérateurs de TV payante auprès de leurs abonnés. En sorte que les pratiques d’enregistrement des émissions TV demeurent importantes. Avec le cloud DVR, plus besoin d’un disque dur installé en local, c’est l’opérateur qui enregistre en tête de réseau le programme demandé et le restitue à la demande sur tous les écrans du foyer.

Principe du Cloud DVR – Source Alcatel-Lucent

Des avantages certains

Les gains apportés par cette technologie sont nombreux. L’usager n’a plus à se préoccuper de la taille de son disque dur, voire même de l’horaire de diffusion; tous les épisodes de la série seront enregistrés même s’il y a des décalages de diffusion, et les programmes enregistrés seront disponibles sur tous les écrans. L’opérateur de service centralise l’infrastructure de stockage et l’adapte aux besoins réels d’enregistrement, ce qui lui permet d’abaisser significativement ses coûts. Les éditeurs disposent d’une plus grande visibilité sur les comportements d’enregistrement des foyers, et peuvent ainsi mieux valoriser cette audience grise.

Les avantages offerts par le Cloud DVR – Source Alcatel-Lucent

Mais des incertitudes juridiques

La copie privée sur équipement personnel comme le DVR ne constitue pas une violation du droit d’auteur depuis le procès BetamaxBetamax en 1984. Il n’en est pas de même pour le Cloud DVR. Si l’enregistrement effectué sur le réseau est considéré comme équivalent à l’enregistrement local, alors le service de Cloud DVR est couvert par l’exception de copie privée; en revanche, si l’enregistrement réseau est vu comme réalisé par un tiers, alors il attente au droit d’auteur. D’où de nombreux procès à l’issue incertaine qui freinent le développement de cette technologie après les fermetures de Wizzgo (France), de TVKaista (Finlande), de Rokuraku (Japon), TV Now (Australie), Aereo (USA).

Le statut juridique impacte également la configuration technique du service selon que la justice nationale tranche en faveur de modèle dit de copie partagée (shared-copy) ou de copie unique (unique-copy). Dans le premier cas, les opérateurs optimisent au mieux leurs infrastructures de stockage en dédupliquant les mêmes enregistrements effectués par des foyers différents; dans le second, ils se doivent de conserver un enregistrement par foyer comme c’est le cas aux États-Unis.

Une situation figée ?

Aux États-Unis, à la suite du jugement portant sur le RS-DVR de Cablevision dominent des services s’appuyant sur le modèle de la copie unique, modèle coûteux et contraignant, et qui avantage les grands opérateurs. Comcast, premier câblo-opérateur, a lancé en 2014 son propre service de Cloud DVR, qui lui aussi s’appuie sur une architecture de copie unique.

À l’inverse en Europe, la Suisse autorise depuis 2012 des services de Cloud DVR basés sur la copie partagée en échange d’une redevance forfaitaire à destination des ayants droit. Celle-ci est calculée par abonné et par mois et selon la nature du service.

En France, le débat semblait clos à la suite de la fermeture de Wizzgo fin 2008. Il a été rouvert en 2016 à l’occasion de l’examen du projet de loi relatif à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine. Un amendement a notamment été déposé afin d’assujettir une partie du stockage en ligne à la redevance pour copie privée. Il stipule que les copies de programmes TV/radio réalisées à partir d’un service en ligne relèveront du domaine de la copie privée.

L’amendement est voté au grand bénéfice du service de télévision OTT, Molotov.tv lancé en juillet 2016. Créé par Jean-David Blanc et Pierre Lescure, le service permet d’accéder sur tous écrans aux programmes TV en direct, au contrôle du direct, au rattrapage, et offrira l’enregistrement en ligne des programmes pour des souscripteurs aux offres payantes.

Schéma de l’étude

  1. Synthèse
  2. Le cloud DVR
    1. Historique
    2. Principes
    3. Concepts de délinéarisation
    4. Avantages pour le spectateur, le fournisseur de service, l’écosystème
    5. Modèle économique
  3. Contexte juridique et modèle technique
    1. Les procès
    2. Copie partagée et copie unique
    3. Paysage mondial
    4. Architecture
    5. Stockage
    6. Difficultés
  4. La demande
    1. Pénétration du DVR
    2. Enregistrement personnel
    3. Télévision de rattrapage
    4. Marché du Cloud DVR
  5. Les déploiements
    1. Cablevision (USA)
    2. Comcast (USA)
    3. KPN (Pays-Bas)
    4. Swisscom (Suisse)
    5. Telefonica (Espagne)

Recettes publicitaires des sites de vidéos en ligne

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Ressources financières des sites de vidéos en ligne

En avril 2016, Médiamétrie recense un total de 3 254,7 M de vidéos vues dans le mois pour une durée de consommation totale de 184,3 M d’heures, soit une durée moyenne par vidéo de 3 minutes et 24 secondes.

Si l’on s’attache à déterminer la part de marché des acteurs en nombre de vidéos consommées, alors YouTube, Facebook et Dailymotion rassemblent à eux trois 82 % de l’ensemble des vidéos en ligne consommées en France en avril 2016.

YouTube est le leader incontesté avec 52 % du total des vidéos consommées; et Facebook s’impose comme le deuxième distributeur de vidéos en France avec 28 % de parts de marché. Le champion national, Dailymotion, est très deçà des deux autres compétiteurs avec 2 % seulement du total des vidéos diffusées.

Alors que l’on connaît bien les recettes liées à la télévision linéaire, à la vidéo à la demande ou à la télévision de rattrapage, les sites de vidéos en ligne se gardent de publier des éléments financiers.

Quelles sont les recettes publicitaires spécifiques générées par les sites de vidéos en ligne ? Comment se rapportent-elles aux ressources des nouvelles vidéos (VOD, SVOD, rattrapage) ?

Observatoire des télécoms en entreprises 2016

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Observatoire des Télécoms en Entreprises, 10ème édition

Les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire des Télécommunications en entreprises sont parus

Après une année 2013 marquée par un recul net des intentions d’investissements,  une reprise timide en 2014, et des intentions d’investissement en nette hausse en 2015, qu’en est-il de 2016 ?

  • Les entreprises investissent-elles à nouveau dans les solutions de communication ? Si oui, sur quelles solutions ?
  • Après 10 ans, qu’en est-il de l’IP Transformation des entreprises ? Existe-t-il encore des freins au passage à l’IP des entreprises ?
  • Quelle progression pour le Cloud PBX ? Va-t-on vers une externalisation des solutions télécoms d’entreprise ?
  • La téléphonie mobile prend-elle le pas sur la téléphonie fixe ?
  • Quel est le taux d’adoption des nouveaux outils de communication : messagerie instantanée, softphones, réseaux sociaux, logiciels de vidéo ou webconférence, etc. ?
  • Les communications unifiées se généralisent-elles dans les entreprises ?
  • Quelle perception du WebRTC dans les entreprises ?

Objectifs

  • Fournir aux acteurs du marché une vue d’ensemble de l’équipement en solutions de communication des entreprises : téléphonie fixe,téléphonie mobile, communications électroniques et solutions de communications unifiées.
  • Établir des prévisions de marché à partir des intentions d’investissement/achat déclarées.

Nous réalisons une enquête téléphonique de plus de 200 questions auprès de1000 entreprises segmentées par taille, secteur, zone géographique pour une parfaite représentativité.

Thèmes de l’enquête

  • Accès Data
  • Équipement informatique
  • Équipement de téléphonie fixe (Box DSL, PBX, IPBX, Centrex, Routeur IP, PBX virtualisé, postes filaires, DECT, Wifi, micros-casques…)
  • Équipement nomade (PC portable, GSM, smartphone, tablette, clé 3G) et détail des contrats GSM (globaux, GSM inclus, “sim-only”, etc.)
  • Équipement en Conferencing (salles et soft)
  • Équipement en solutions informatiques de communication (mails, IM, serveur de messagerie, réseaux sociaux, téléphonie logicielle, etc.)
  • Équipement en outils collaboratifs (partage de documents, agenda partagé, annuaire mutualisé)
  • Passage à la ToIP et retour d’expérience
  • Parts de marché des offreurs : FAI, constructeurs PBX, intégrateurs, opérateurs Centrex, opérateurs fixes, opérateurs mobiles, constructeurs de micros-casques, fournisseurs de services d’audioconférence, fournisseurs de solutions informatiques, de communications unifiées, etc.
  • Intentions d’investissement (téléphonie, solutions de communication), intentions de changement d’opérateur

Communications Entreprises

Quel marché pour une solution de détection du plagiat logiciel à partir des binaires ?

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Le laboratoire LORIA de l’Université de Lorraine, notamment les chercheurs Guillaume Bonfante et Jean-Yves Marion, a développé une technologie d’analyse morphologique qui permet de détecter des similarités dans des logiciels.

La première application d’un tel logiciel est à trouver dans la sécurité informatique notamment pour comprendre comment fonctionnent ou à quelles familles se rattachent des logiciels malveillants (virus, malwares, rootkits, etc.) afin de les combattre.

Une autre application est peut-être à trouver dans la détection du plagiat logiciel. Existe-t-il un marché économiquement viable auprès d’avocats, d’éditeurs de logiciels, de SSII, voire de DSI grands comptes pour détecter le plagiat d’un logiciel par un autre ?

Le marché mondial de la compression vidéo

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Les nouveaux acteurs de l’écosystème vidéo

La numérisation des flux TV – c.-à-d. la transformation d’une onde analogique en informations binaires (0 ou 1) – a eu deux grandes conséquences :

Multiplication des réseaux

Ce qui était disponible analogiquement sur des réseaux dédiés en hertzien, câble ou satellite pouvait désormais être acheminé également sur réseau téléphonique via la technologie ADSL (TVoDSL), voire sur l’Internet ouvert, et on parle alors de diffusion OTT.

Multiplication des écrans

De même, des contenus réservés à un récepteur spécifique (le téléviseur), pouvaient être visualisés sur d’autres équipements capables de traiter les informations numériques : PC, tablette, smartphone, console de jeu portable, etc.

Toutefois, l’image, a fortiori animée, comporte une quantité d’informations beaucoup plus importante que les réseaux ne peuvent en supporter ; il faut donc la compresser pour qu’elle prenne moins de place. C’est l’encodage. Et comme nous souhaitons la recevoir sur plusieurs écrans de résolutions différentes, les flux d’image doivent souvent être encodés, puis décodés, et réencodés (opération de transcodage).

La compression vidéo est donc désormais au cœur de l’écosystème vidéo et doit concilier de multiples contraintes : gestion multiréseaux et multiécrans, temps réel pour le direct, et augmentation continue de la résolution d’affichage, d’un affichage standard jusqu’à l’ultra-haute définition, en passant par les différentes versions de la haute définition.

La chaîne de valeur de la vidéo en ligne – Source Anevia

De nouveaux acteurs se greffent ainsi sur la chaîne de valeur audiovisuelle. Il s’agit, comme on l’a vu, d’encoder les vidéos, et de trouver le meilleur compromis entre la qualité et le débit.

Pour les contenus premium, disponibles en PPV, sur des chaînes payantes, mais aussi à la demande (VOD, rattrapage), il s’agit de gérer droits et de permettre le cryptage des contenus.

La part croissante de contenus lourds comme les vidéos sur Internet. Selon CiscoCisco, en 2014, la vidéo compte pour 64 % du volume de données transitant sur Internet; en 2019, la vidéo comptera pour 80 %, et ce sans inclure les vidéos partagées en peer-to-peer, auquel cas le poids de la vidéo pourrait monter jusqu’à 90 %. impose le recours à des CDN (Content Delivery Network) qui répliquent ces contenus au plus près des consommateurs pour les servir le plus rapidement.

Les acteurs de la chaîne de valeur vidéo en ligne – Source Anevia

Schéma de l’étude

  1. Le marché de l’encodage vidéo
    1. les nouveaux acteurs de la chaîne de valeur vidéo
    2. Les contraintes de l’encodage vidéo
    3. Le marché de l’encodage vidéo
    4. Les acteurs
  2. Monographie des acteurs
    1. Arris
    2. Ateme
    3. Cisico
    4. Elemental Technologies
    5. Envivio
    6. Ericsson
    7. Harmonic
    8. Thomson Video Networks

Les entreprises en attente de la fibre optique

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Observatoire du très haut débit fixe en entreprise

Dans le cadre du plan Très Haut Débit, il est prévu que le très haut débit soit offert à 100% de la population à l’horizon 2022.

Qu’en est-il des attentes des entreprises en matière de fibre optique et de très haut débit ? Quels sont les obstacles à la généralisation du très haut débit ?

Près de la moitié des entreprises intéressées par le très haut débit

Si les entreprises se révèlent généralement prudentes face à l’innovation technologique, près de la moitié d’entre elles sont intéressées ou très intéressées par la fibre optique et le très haut débit. Et la plupart des entreprises souscriraient à des offres de fibre optique si elles étaient éligibles.

Le marché semble donc mûr pour passer rapidement à la fibre optique si les offres proposées s’avèrent attractives.

Objectifs de l’enquête

  1. Mesurer le degré de préparation (et de connaissance) des entreprises à l’abandon prochain de la boucle locale cuivre (BLC),
  2. Faire l’inventaire des entreprises et des équipements (volumétries) dépendant de la boucle locale cuivre,
  3. Mesurer l’intérêt et l’appétence des entreprises pour la fibre optique.

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Méthodologie

L’étude s’appuie sur une enquête téléphonique auprès d’un échantillon représentatif  de 1.000 entreprises, afin de mesurer leurs usages spécifiques et de comprendre leurs attentes. Nous interrogeons les établissements pour disposer d’une bonne représentation des inventaires disponibles (accès, usages spécifiques BLC).

Schéma simplifié de l’enquête

  1. Inventaire des accès en entreprises
  2. Inventaire des services spécifiques faisant usage de la boucle locale cuivre
  3. Autres besoins spécifiques nécessitant la boucle locale cuivre
  4. Intentions de migration des applications spécifiques vers le haut débit ou le très haut débit
  5. Connaissance et intérêt pour la fibre optique
  6. Notoriété du Plan Très haut Débit du gouvernement

Scholè Marketing intervient au séminaire Médias 2015 de l’irep

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IREP : séminaire

Observatoire du très haut débit fixe

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Dans le cadre du plan Très Haut Débit, il est prévu que le très haut débit soit offert à 100% de la population à l’horizon 2022.Si le marché grand public semble relativement simple à aborder, il n’en est pas de même du marché entreprises beaucoup plus inerte : les décisions doivent être anticipées et incluses dans des plans d’investissement ; les entreprises peuvent être amenées à utiliser des applications s’appuyant sur la boucle locale cuivre, et parfois difficilement transposables sur la fibre optique.

Scholè Marketing lance un Observatoire du Très Haut Débit fixe en entreprises pour mesurer l’appétence et la migration vers le très haut débit.

Objectifs

  1. Mesurer le degré de préparation (et de connaissance) des entreprises à l’abandon prochain de la boucle locale cuivre (BLC),
  2. Faire l’inventaire des entreprises et des équipements (volumétries) dépendant de la boucle locale cuivre,
  3. Mesurer l’intérêt et l’appétence des entreprises pour la fibre optique.

Méthodoologie

L’étude s’appuie sur une enquête téléphonique auprès d’un échantillon représentatif  de 1.000 entreprises, afin de mesurer leurs usages spécifiques et de comprendre leurs attentes. Nous interrogeons les établissements pour disposer d’une bonne représentation des inventaires disponibles (accès, usages spécifiques BLC).

Schéma simplifié de l’enquête

  1. Inventaire des accès en entreprises
  2. Inventaire des services spécifiques faisant usage de la boucle locale cuivre
  3. Autres besoins spécifiques nécessitant la boucle locale cuivre
  4. Intentions de migration des applications spécifiques vers le haut débit ou le très haut débit
  5. Connaissance et intérêt pour la fibre optique
  6. Notoriété du Plan Très haut Débit du gouvernement

Descriptif étude : ici

Bilan international de la TV de rattrapage

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On décrit souvent la vidéo à la demande, et désormais la vidéo à la demande sur abonnement (SVOD); on évoque moins la télévision de rattrapage (ou catch-up TV), qui est pourtant un succès dans bien des pays. En témoignent les résultats de services comme Hulu aux États-Unis, BBC iPlayer en Grande-Bretagne, ou même ABC iview en Australie. En témoigne également la consommation de services de rattrapage en France utilisés au moins une fois dans l’année par 72 % des Internautes en 2014. Quelle est, dès lors, l’ampleur de la télévision de rattrapage dans différents pays ?
Dans la plupart des pays développés, l’audience de la TV en direct (ou live) enregistre une décrue depuis plusieurs années. La faute sans doute à la montée en gamme d’Internet et de ses usages dérivés (mail, jeux vidéo, radios, musique, etc.) qui pèse sur les budgets-temps des individus. Dès lors, le rattrapage est-il en mesure de compenser la perte d’audience? Peut-il en parallèle rajeunir les publics de la télévision? Quels revenus sont tirés de la télévision de rattrapage? Peuvent-ils devenir significatifs pour les chaînes ? Enfin, sur quelle partition direct / à la demande peut-on tabler à l’avenir ?
Graph

Sommaire de l’étude

  1. Synthèse de l’étude
    • Evaluation des audience de la TV linéaire
    • Pénétration du DVR
    • Poids du rattrapage
    • Les grands acteurs
    • Contribution financière
  2. Allemagne
    • Le marché
    • RTL Interactive
  3. Australie
    • Le marché
    • ABC iview
  4. Etats-Unis
    • Le marché
    • Hulu
  5. France
    • Le marché
    • MyTF1, Pluzz, 6play
  6. Grande-Bretagne
    • Le marché
    • BBC iPLayer

77 pages, 71 graphiques, 9 tableaux

Etude disponible Descriptif étude

Baromètre de la mobilité en entreprise 2015

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A partir d’une enquête approfondie auprès de 1.000 entreprises, représentatives de la population des entreprises en France de 1 salarié et plus, et 600 travailleurs sur écran, Scholè Marketing mesure la pénétration des terminaux nomades en entreprise, ainsi que les usages mobiles effectifs des salariés.

Comme prévu, le smartphone dépasse le GSM dans les entreprises

69% des salariés (travailleurs sur écran) sont équipés d’un téléphone mobile au travail. C’était déjà perceptible l’année dernière, et c’est confirmé cette année : il y a désormais plus de salariés équipés de smartphones que de GSM traditionnels. Les entreprises s’équipent en tablettes tactiles, et le BYOD (Bring Your Own Device) touche à des degrés divers 40% des salariés.

Equipement mobile des salariés

Problématiques de l’étude

Parmi les problématiques traitées :

  1. Comment le développement du GSM dans l’entreprise s’articule-t-il avec le parc existant de téléphones fixes ? Y a-t-il duplication des équipements pour une même personne ou au contraire substitution, les GSM tendant à remplacer les téléphones fixes?
  2. Quel est le poids du nomadisme et du télétravail en entreprise ? Ce poids va-t-il aller croissant favorisant de fait les outils nomades (PC portable, smartphone, tablette) ?
  3. Le « Bring Your Own Device » (BYOD) semble s’installer durablement comme tendance de fond dans l’entreprise. Si les entreprises fournissent dans la grande majorité des cas les téléphones mobiles pour leurs salariés travaillant sur écran, il semble que ceux-ci apportent majoritairement leur équipement personnel dans le cas d’un smartphone ou d’une tablette. Ce phénomène est-il amené à se renforcer à l’avenir?

Sommaire de l’étude

  1. Equipement IT des entreprises
    • Téléphonie fixe et PBX
      • Postes fixes
      • Micro-casques
      • Solution de communication
    • Equipement mobile
      • GSM
      • Smartphone
      • Tablette
      • Clé 3G/4G
    • Articulation fixe mobile
    • Nature des contrats souscrits
      • Services
      • Contrat globaux/contrats individuels
      • Mobile compris ou “sim-only”
    • Intentions d’investissement des entreprises
      • Intentions d’investissement et horizon
      • Type de terminal
      • Intention de changer d’opérateur mobile
      • Raisons du changement d’opérateur
    • Présence des acteurs
      • Opérateurs mobiles
      • OS mobiles
  2. Contexte de travail des salariés
    • Configuration du lieu de travail
    • Répartition du temps de travail
    • Travail en mobilité
    • Télétravail
    • Pratiques de la réunion
  3. Usage des terminaux mobiles
    • Equipement mobile des travailleurs sur écran
      • GSM, smartphone, tablette tactile, PC portable, clé 3G/4G
      • Fonction statutaire des terminaux
    • Téléphone mobile
      • Abonnements smartphones
      • Fonctionnalités utilisées sur téléphone mobile
      • Applications professionnelles utilisés sur téléphone mobile
      • Part des conversations téléphoniques sur téléphone mobile
      • Le mobile concurrence-t-il le fixe ?
  4. Usage des terminaux personnels
    • Usage d’un terminal nomade au travail
    • Selon le profil des collaborateurs
    • Intentions d’usage d’un terminal personnel
    • Freins à l’utilisation d’un terminal personnel
    • Contributions des entreprises aux terminaux personnels
    • Coût de l’abonnement individuel

Rencontrons-nous au salon Mobilité for Business

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Dans le cadre de l’événement
La Société Scholè Marketing vous invite au salon
les 6*, 7 & 8 octobre 2015
Porte de Versailles – Hall 5
Le salon des solutions et applications mobiles pour les entreprises
Scholè Marketing, partenaire du salon Mobility for Business, intervient sur 2 ateliers : mercredi 7 octobre à 16 heure sur le BYOD, et jeudi 8 à 10h30 sur l’équipement nomade des salariés. Venez nous rencontrer et discuter des données du dernier Baromètre sur la mobilité et le nomadisme.
Les intervenants SCHOLE MARKETING

Nicolas AMESTOY, Directeur, SCHOLè MARKETING

Les conférences et/ou ateliers sur lesquelles SCHOLE MARKETING intervient

07/10/2015 16:00-16:50 : GS3 – Le BYOD : facteur de complexité de gestion et de renchérissement de la sécurité ?
08/10/2015 10:30-11:20 : T2 – Terminal unique ou multi équipement ? Quelles possibilités pour les collaborateurs nomades de l’entreprise ?

La fiche catalogue SCHOLE MARKETING
Présentation
Scholè Marketing est un cabinet d’études spécialisé sur les nouveaux services numériques. Nous proposons nos services aux acteurs des marchés des médias (éditeurs de chaînes, producteurs de contenus, institutions, etc.), des télécoms (opérateurs mobiles, FAI, constructeurs, intégrateurs, institutions, etc.) et de l’IT au sens large. Depuis 8 ans, nous suivons la pénétration des outils de communic …
Activité : Publicité / Marketing
Effectif : moins de 10 salariés
Adresse : 46 Place Jules-Ferry
Code Postal : 92120
Ville : MONTROUGE
Pays : France
Voir la fiche catalogue complète
Recevez votre badge visiteur dès aujourd’hui,
l’entrée au salon et aux conférences est gratuite mais réservée aux professionnels

Perspectives TV & Vidéo 2020

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La dernière décennie a été riche en innovations audiovisuelles : télévision numérique, IPTV, vidéo à la demande, haute définition, télévision de rattrapage, enregistreur numérique, téléviseur 3D, téléviseur connecté…

De nouveaux défis nous attendent : l’extension de l’IPTV aujourd’hui bridée par la distance aux répartiteurs, la généralisation de la diffusion en haute définition, le développement d’une réception multi-écrans et multi-pièces, l’essor de pratiques TV effectivement connectées, l’introduction de l’ultra-haute définition (UHD), l’irruption des services dits Over-The-Top…
Quel sera le paysage audiovisuel à moyen terme ? Scholè Marketing vous proposeLes Perspectives Vidéo 2020. Basés sur l’analyse des marchés étrangers plus avancés, l’expertise nationale, la simulation et la prévision, nous vous proposons des scénarios et pistes de réflexion sur le marché audiovisuel et vidéo à l’horizon 2020.

Scénarios

  1. Le très haut débit fixe et mobile : quelle transition vers le très haut débit ?
  2. Le téléviseur connecté : les pratiques connectées vont-elles (enfin) s’installer ?
  3. L’ultra-haute définition : une évolution comparable à la haute définition ?
  4. La concurrence des écrans : quelle concurrence des nouveaux écrans ?
  5. L’évolution de la distribution audiovisuelle : l’IPTV va-t-elle supplanter la distribution hertzienne ?
  6. La concurrence des services sur téléviseur : en a-t-on fini avec la télévision linéaire ?
  7. La vidéo : que peut-on escompter de la SVOD et de l’EST ?

80 pages, 67 graphiques, 10 tableaux

Etude disponible

 

Cloud Week : Scholè Marketing vous invite le 8 Juillet

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cw1bisUNE MATINEE POUR FAIRE LE POINT

Le mercredi 8 juillet – PARIS

  

Le marché des Communications unifiées (téléphonie fixe et mobile, collaboration, visioconférence …) dans les entreprises évolue de manière à répondre à une demande croissante – mais encore limitée – des entreprises pour avoir de la flexibilité (adaptation aux évolutions du périmètre), une possibilité de paiement en fonction de l’usage, la certitude de pouvoir bénéficier des évolutions technologiques et une simplicité d’usage.

Cette évolution des besoins induit un changement important de la part des acteurs (équipementiers, opérateurs, intégrateurs), un changement de business model (par la remise en cause notamment du modèle traditionnel de maintenance ou la fourniture directe de services par les constructeurs et les éditeurs) et produit un impact majeur sur les acteurs de l’offre (redéfinition du rôle de distributeur, nouvelle valeur ajoutée à trouver pour les revendeurs, …)

De nouveaux acteurs apparaissent, d’autres se regroupent et tous introduisent à leur rythme ce nouveau business model.

L’émergence d’acteurs internationaux vient modifier les positions en place

VaaS (Video as a Service), UCaaS (Unified Communication as a service), centrex fixe ou centrex mobile sont quelques-uns des services disponibles dans le Cloud.

Le CDRT réunit, à l’occasion de cette matinée, quelques uns des acteurs les plus innovants ou dynamiques sur le marché ainsi que les demandeurs et acheteurs de nouveaux services (grâce à son partenariat avec CRESTEL) et des intégrateurs.

A travers une série de tables rondes et de conférences plénières, le CDRT abordera l’état des lieux , les attentes et les évolutions du marché du Cloud des Communications Unifiées en réunissant des constructeurs, intégrateurs, éditeurs, opérateurs et clients finaux.

La participation à cette journée est gratuite mais réservée aux professionnels du secteur – elle est donc soumise à approbation (les places sont limitées)

Nous vous y attendons nombreux …

Stéphane Grasset, Président du CDRT

 

LE PROGRAMME

 

8h30 Accueil café
8h45 Conférence d’ouverture : Introduction du Président du CDRT – Stéphane Grasset – qui mettra en avant certains paradoxes entre le développement du Cloud en téléphonie et lemodèle traditionnel qui reste encore largement majoritaire.Présentation des tables rondes, des intervenants et des sponsors

Stéphane Grasset – Président du CDRT et Associé de Apps2com

9h10 Table Ronde N°1
Visio conférence : Comment se positionner entre les modèles collaboratifs (Skype for Business Google Hangouts,…), le WebRTC, les solutions cloud et les salles ?

  • Participants : Hugues de Bonnaventure Country Manager de Lifesize, Patrick BERGOUGNOU PDG de Cirpack, Bertrand Pourcelot  Directeur Général de Centile
  • Animateur : Stéphane Grasset
10h00 Table Ronde N°2
Communication Unifiée  : Téléphonie dans le cloud ; Qui fait quoi entre l’opérateur, le constructeur/éditeur  et l’intégrateur

  • Participants :  Laurent Silvestri PDG d’Open IP , Patrice Brillard Directeur Commercial de Mitel, Laurent Marchal Directeur Commercial Vente Indirecte Keyyo, Patrice Clair, Directeur Avant-Vente Europe du Sud de la société Avaya
  • Intégrateurs : Frédéric Décard DGA Resophone
  • Animateur : Eric Assaraf Président de Be AGILE et secrétaire Général du CDRT
10h45 Pause café – rencontre avec les intervenants
11h00 Table Ronde N°3
TOIP :
l’IPBX installé chez le client final est-ce un modèle en voie de disparition ?

  • Participants : Bertrand  Caron , Directeur Associé  d’Avencall, Julien Rickauer Directeur Commercial de Shoretel et Laurent Dury Channel Manager BtoB France Plantronics, Olivier Couston Directeur Général de Unify France
  • Intégrateur :Eric Chambriard Associé Apps2com
  • Animateur : Nicolas Amestoy DG de de Schole Marketing
11h45 Conférence de clôture et débat avec les intervenants
12h15 Déjeuner – rencontre avec les intervenants (sur invitation préalable seulement)

 

Les intervenants

En cliquant sur les logos – découvrez la page de présentation de chacun de nos partenaires 

Liste des intervenants et soutiens  – par ordre alphabétique

 

 

Avaya
Avencall
Leader européen du développement de plateformes de communications unifiées et de convergence fixe-mobile pour les opérateurs et les intégrateurs.
Cirpack
Itancia
La téléphonie augmentée au service de l’entreprise
Lifesize
Mitel
OpenIp
Plantronics
Shoretel
Réunir les systèmes de communication de nos clients.

Observatoire des Télécoms en Entreprises 2015

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Les entreprises redoublent d’investissements en 2015

Après une année 2013 marquée par un recul net des intentions d’investissements,  une reprise timide en 2014, les entreprises affichent des intentions d’investissement en très nette hausse en 2015.

Intentions d'investissements des entreprises

Objectifs

  • Fournir aux acteurs du marché une vue d’ensemble de l’équipement en solutions de communication des entreprises : téléphonie fixe,téléphonie mobile, communications électroniques et solutions de communications unifiées.
  • Établir des prévisions de marché à partir des intentions d’investissement/achat déclarées.

Nous avons réalisé une enquête téléphonique de plus de200 questions auprès de1000 entreprises segmentées par taille, secteur, zone géographique pour une parfaite représentativité.

Thèmes de l’enquête

  • Equipement informatique
  • Equipement de téléphonie fixe (Box DSL, PBX, IPBX, Centrex, Routeur IP, PBX virtualisé, postes filaires, DECT, Wifi, micro-casques…)
  • Equipement nomade (PC portable, GSM, smartphone, tablette, clé 3G) et détail des contrats GSM (globaux, GSM inclus, “sim-only”, etc.)
  • Equipement en Conferencing (salles et soft)
  • Equipement en solutions informatiques de communication (mails, IM, serveur de messagerie, réseaux sociaux, téléphonie logicielle, etc.)
  • Equipement en outils collaboratifs (partage de documents, agenda partagé, annuaire mutualisé)
  • Passage à la ToIP et retour d’expérience
  • Parts de marché des offreurs : constructeurs PBX, intégrateurs, opérateurs Centrex, opérateurs fixes, opérateurs mobiles, constructeurs de micro-casques, fournisseurs de services d’audioconférence, fournisseurs de solutions informatiques, de communications unifiées, etc.
  • Intentions d’investissement (téléphonie, solutions de communication), intentions de changement d’opérateur

L’étude est disponible dans son intégralité, ou sous forme de module, ou enfin à l’indicateur.
Communications Entreprises

VidéoScope 2015

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La première étude globale qui décortique l’ensemble des consommations TV et vidéo

Afin d’avoir une vision globale sur la manière dont le téléspectateur s’est emparé de tous les modes d’accès aux images quel que soit l’écran utilisé, Scholè Marketing et Vivaki Advance  ont lancé en partenariat un nouveau baromètre audiovisuel et vidéo.

Cette étude est la première à englober dans une mesure unitaire l’ensemble de la consommation audiovisuelle et vidéo (télévision en direct ou en rattrapage, vidéos en ligne, enregistrements, streaming, DVD-Blu-ray, VOD-SVOD) sur tous les supports présents au domicile (téléviseur, PC, tablette tactile, smartphone, console portable) : plus de 2 000 Internautes ont répondu sur les contenus audiovisuels et vidéos regardés la veille, le temps passé, la qualité d’écoute, l’attention portée à la publicité…

Quelques conclusions tirées de cette étude riche d’enseignements.

La télévision, en direct ou en rattrapage, toujours à l’honneur

Videos

  • La quasi-totalité des internautes français (98%) passent au moins un moment de leur journée devant un écran pour regarder une émission de télévision ou une vidéo.
  • La télévision linéaire reste de très loin prioritaire dans leurs pratiques audiovisuelles : ils sont ainsi 74% à avoir regardé la veille un programme diffusé par une chaîne, ce qui représente 67 % de leur temps d’écoute passé devant un écran.
  • Grâce aux nouvelles possibilités offertes par la délinéarisation des contenus, ils sont désormais 22% à recourir au rattrapage proposé par les chaînes pour voir ou revoir un programme déjà diffusé, alors qu’ils ne sont que 14% à regarder des programmes qu’ils ont eux-mêmes enregistrés. Ces deux modes d’écoute pèsent respectivement  9% et 8% du temps d’écoute individuel total.
  • 22% des internautes regardent des vidéos sur Internet (YouTube, Facebook,…). Mais compte tenu du format le plus souvent court de ces vidéos, cela ne représente que 4% du temps d’écoute par individu.
  • Même si  le taux d’abonnement à une offre câble ou ADSL est élevé, seulement 5% des Français profitent des offres de VOD ou de SVOD. Près de 10% préfèrent la lecture d’un DVD ou d’un Blu-ray pour agrémenter leur temps de loisir quand 11% sont adeptes du streaming[1]. Ces trois modes représentent respectivement 2%, 5% et 5% du temps d’écoute total.
  • Les 15-24 ans affichent, comme on pouvait s’y attendre, des comportements d’écoute très typés. Ils optent pour une consommation à la demande au détriment de programmes linéaires : 75% visionnent des contenus à la demande (contre 55% en moyenne) ; 38% se portent volontiers sur le streaming, la VOD, ou la SVOD (contre 22%), et la vidéo en ligne est bien évidemment plébiscitée avec 45% de consommation quotidienne (contre 22%).

Le récepteur TV restera encore longtemps présent dans les foyers français

Ecrans

L’équipement jugé le plus adéquat pour regarder un contenu audiovisuel reste, et de loin, le téléviseur. Avec un indice de 45 (base 100=TV), le PC portable arrive en deuxième position talonné par le PC fixe (indice 40). Le téléphone mobile est, comme on pouvait s’y attendre, jugé le moins pratique avec un indice de 27.

Le « multi-tasking » n’empêche pas l’attention portée à la publicité

multitasking

Même si les résultats évoqués plus haut plaident en faveur de la télévision « traditionnelle », ils sont à tempérer par le fait que l’écoute de la TV linéaire est la plus exposée aux activités multiples (comportements dits « multi-tâches »). 32% des téléspectateurs pratiquent systématiquement d’autres activités, alors que ce score ne dépasse pas 23% pour les autres types de consommation vidéo.

Pour autant, c’est pendant l’écoute des programmes TV en diffusion linéaire que l’attention à la publicité reste la plus forte, l’indice d’attention pour les autres modes de visionnage oscillant entre 65 et 75 (base 100=TV en direct)

Rappel méthodologique

Réalisée sous la forme de carnets de comportement sur une journée auprès d’un total de 2 071 individus de 15 ans et plus disposant d’Internet à domicile, l’étude couvre une période de deux semaines (20 janvier au 5 février 2015), permettant de dissocier les comportements des jours de semaine de ceux du week-end, tout en minimisant d’éventuels effets de programmation exceptionnelle de la part des chaînes TV.

Le développement de l’ultra-haute définition (UHD), État des lieux et perspectives

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Le passage à la haute définition a constitué une formidable opportunité pour l’électronique grand public et a bénéficié d’un concours de circonstances inédit qui a permis un renouvellement rapide et soutenu des écrans dans les foyers. Dynamique qui s’achève aujourd’hui sans que les diverses innovations proposées par les constructeurs (TV 3D, TV connectée…) n’arrivent à séduire les consommateurs, et donc à relancer les ventes.

En parallèle, le téléviseur du salon se voit concurrencé par de multiples écrans dans les foyers (PC portable, smartphone, tablette) comme autant de moyens pour visionner des émissions TV ou des programmes à la demande.

L’ultra-haute définition promet d’améliorer la définition d’image par un facteur 4 sur la Full HD. S’agit-il là d’une énième innovation sans lendemain poussée par les industriels, ou y a-t-il une véritable appétence pour une image de qualité de la part des spectateurs? Où en est-on des diverses expérimentations en matière d’ultra-haute définition? La chaîne technique est-elle au point pour produire, distribuer, et recevoir des images UHD? Et enfin, quelles peuvent être les perspectives probables de pénétration des téléviseurs UHD dans les foyers ?

Définition_UHD

La France défavorisée ?

Depuis 2004, la France a développé avec succès la distribution TV via ADSL dans le cadre de forfaits illimités tri-services (Internet, téléphonie, télévision). A telle enseigne que le pays est en tête mondialement en termes de pénétration des offres IPTV. Au total, l’IPTV est le deuxième mode d’accès à la télévision en France derrière la TNT.

La diffusion de contenus UHD via Internet exige des accès à très haut débit à 10 Mbps, voire 20 Mbps (Netflix UHD réclame de 15 Mbps à 20 Mbps). Et seuls 9% des accès sont à très haut débit en France au deuxième trimestre 2014 selon l’ARCEP. D’où deux questions. Comment les foyers triple play en France pourront-ils recevoir des chaînes UHD lorsqu’elles seront disponibles compte tenu du rythme (lent) de progression de la fibre optique dans le pays ?

On évoque fréquemment des services de vidéo en ligne (Netflix, Amazon, YouTube) comme promoteurs de contenus UHD; toutefois, dans la plupart des pays développés (hors Asie du Sud-Est) les débits moyens constatés chez les grands FAI ne permettent même pas de transmettre des vidéos en Full HD dans de bonnes conditions. En dehors des effets d’annonce, y a-t-il un avenir pour la distribution de vidéos UHD par Internet ou en IPTV en dehors des “happy few” disposant de la fibre optique à domicile ?

Est-ce que l’UHD ne réhabilite pas les réseaux classiques de distribution, CabSat pour des services premium ? et… TNT pour des services audiovisuels gratuits ? Voire les supports physiques comme le Blu-ray 4K, successeur annoncé du Blu-ray ?

Sommaire de l’étude

  1. Synthèse de l’étude
    • L’amélioration de l’image
    • Japon et Corée du Sud en pointe
    • Des perspectives encourageantes
    • La situation singulière de la France
  2. Contexte et problématique
    • Une résolution multipliée par 4 ou 16
    • La nécessaire innovation
    • Les caractères techniques
  3. Projets, expérimentations et déploiements
    1. Japon
    2. Corée du Sud
    3. États-Unis
    4. France
    5. Europe (satellite)
    6. Grande-Bretagne
  4. Perspectives
    • Quels réseaux
    • Quels contenus
    • Quelle demande
    • Quel parc de réception

Étude parue en septembre 2014, 105 pages
88 graphiques et tableaux
Sommaire détaillé

Baromètre de la mobilité et du nomadisme 2014

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A partir d’une enquête approfondie auprès de 1.000 entreprises, représentatives de la population des entreprises en France de 1 salarié et plus, et 600 travailleurs sur écran, Scholè Marketing mesure la pénétration des terminaux nomades en entreprise, ainsi que les usages mobiles effectifs des salariés.

Comme prévu, le smartphone dépasse le GSM dans les entreprises

72% des entreprises de 1 salarié et plus sont dotées d’un ou plusieurs équipements mobiles (hors PC portable) contre 91% équipées de téléphones fixes. C’était déjà perceptible l’année dernière, et c’est confirmé cette année : il y a désormais plus d’entreprises équipées de smartphones que de GSM traditionnels. Pour les smartphones, iOS demeure préféré à Android à l’inverse du marché grand public. Enfin, les formules d’abonnement “sim-only” font une percée remarquée chez les petits comptes.

Equipt_Nomade

Problématiques de l’étude

Parmi les problématiques traitées :

  1. Comment le développement du GSM dans l’entreprise s’articule-t-il avec le parc existant de téléphones fixes ? Y a-t-il duplication des équipements pour une même personne ou au contraire substitution, les GSM tendant à remplacer les téléphones fixes?
  2. Quel est le poids du nomadisme et du télétravail en entreprise ? Ce poids va-t-il aller croissant favorisant de fait les outils nomades (PC portable, smartphone, tablette) ?
  3. Le « Bring Your Own Device » (BYOD) semble s’installer durablement comme tendance de fond dans l’entreprise. Si les entreprises fournissent dans la grande majorité des cas les téléphones mobiles pour leurs salariés travaillant sur écran, il semble que ceux-ci apportent majoritairement leur équipement personnel dans le cas d’un smartphone ou d’une tablette. Ce phénomène est-il amené à se renforcer à l’avenir?

Sommaire de l’étude

  1. Equipement IT des entreprises
    • Téléphonie fixe et PBX
      • Postes fixes
      • Micro-casques
      • Solution de communication
    • Equipement mobile
    • Articulation fixe mobile
      • GSM
      • Smartphone
      • Tablette
      • Clé 3G/4G
    • Nature des contrats souscrits
      • Services
      • Contrat globaux/contrats individuels
      • Mobile compris ou “sim-only”
    • Intentions d’investissement des entreprises
      • Intentions d’investissement et horizon
      • Type de terminal
      • Intention de changer d’opérateur mobile
      • Raisons du changement d’opérateur
    • Présence des acteurs
      • Opérateurs mobiles
      • OS mobiles
  2. Contexte de travail des salariés
    • Configuration du lieu de travail
    • Répartition du temps de travail
    • Travail en mobilité
    • Télétravail
    • Pratiques de la réunion
  3. Usage des terminaux mobiles
    • Equipement mobile des travailleurs sur écran
      • GSM, smartphone, tablette tactile, PC portable, clé 3G/4G
      • Fonction statutaire des terminaux
    • Téléphone mobile
      • Abonnements smartphones
      • Fonctionnalités utilisées sur téléphone mobile
      • Applications professionnelles utilisés sur téléphone mobile
      • Part des conversations téléphoniques sur téléphone mobile
      • Le mobile concurrence-t-il le fixe ?
  4. Usage des terminaux personnels
    • Usage d’un terminal nomade au travail
    • Selon le profil des collaborateurs
    • Intentions d’usage d’un terminal personnel
    • Freins à l’utilisation d’un terminal personnel
    • Contributions des entreprises aux terminaux personnels
    • Coût de l’abonnement individuel

Méthodologie

Enquête téléphonique auprès de 1.000 entreprises (mono-site/multi-sites) et par Internet auprès de 600 travailleurs sur écran (knowledge workers). Données redressées sur la taille, le secteur d’activité et la zone géographique pour une parfaite représentativité de l’échantillon.

Les services vidéo avancés dans le monde

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Nous assistons sans conteste à la fois à un développement de nouveaux services vidéo (en ligne, à la demande) et à une consommation vidéo qui devient de plus en plus en tous lieux, en tous temps, à la demande, et sur des équipements multiples. D’où deux questions posées dans cette étude :
  1. Quelles est la situation à l’international, notamment sur les pays les plus développés ? Et quelles en sont les tendances ?
  2. Comment la France se positionne-t-elle ? Est-elle en avance ? Ou accuse-t-elle des retards ? Si oui, lesquels ?
Nous avons balayé l’ensemble des services vidéos disponibles pour fournir un éclairage international : IPTV, vidéos en ligne, services vidéo premium (VOD, SVOD, téléchargement définitif. ), services avancés de télévision (télévision à la demande, télévision sociale, vidéo en streaming…). Ce faisant, nous mettons en évidence les nouveaux comportements d’écoute (multi-écrans, multi-tâches, à la demande, à la chaîne ou binge watching).

La France à la pointe, oui mais…

Si la France bénéficie d’une situation inédite mondialement avec l’essor de l’IPTV qui a apporté avec lui nombre d’innovations dans les foyers en matière de télévision (vidéo à la demande, télévision de rattrapage, enregistreur numérique, TV connectée, etc.), elle enregistre des difficultés sur la vidéo premium (DVD/Blu-ray, VOD, SVOD, EST), et pâtit d’un développement insuffisant des accès Internet très haut débit (supérieur ou égal à 10 Mbps). Ce qui risque d’hypothéquer les nouveaux services audiovisuels à terme : multi-pièces, multi-écrans, service vidéo OTT, VOD ultra-haute définition (UHD 4K et 8K), etc.

L'IPTV dans le monde

Sommaire de l’étude

  1. Synthèse de l’étude
    • Un paysage audiovisuel remanié
    • De nouveaux comportements
    • Le positionnement de la France
  2. État de l’art de l’équipement
    • Smartphones
    • Tablettes tactiles
    • Téléviseurs connectés
    • Console de jeu de salon
  3. État de l’art des accès
    • Haut débit fixe
    • Haut débit mobile
    • Perspectives des accès
  4. État de l’art des services vidéo
    • IPTV
    • Vidéos en ligne
    • Vidéos premium
    • Télévision avancée

Étude parue en juillet 2014, 112 pages
110 graphiques et tableaux
Sommaire détaillé

Usages et pratiques des outils de communication en entreprise

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L’étude 2014 est parue!

En contrepoint de l’enquête auprès des entreprises (1000 entreprises interrogées) qui renseigne sur la pénétration des outils de communication et les intentions d’investissements des entreprises (Observatoire des Télécoms en Entreprises), Scholè Marketing enquête auprès des salariés (600 travailleurs sur écran) pour savoir quels sont les usages effectifs des outils de communication.

Les outils de communication en entreprises sont-ils utilisés, et avec quelle fréquence ? Quelle appréciation les salariés ont-ils de ces outils ? Les communications électroniques ou virtuelles sont-elle appelées à détrôner le téléphone fixe ? Voire le mobile ? Les salariés sont-ils débordés par la multiplication des outils de communication ou arrivent-ils à les gérer correctement ?

Des salariés en attente de plus d’outils de communication

Malgré le développement des outils de communication en entreprises (téléphone fixe, téléphone mobile, micro-casques, outils de téléconférence, mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux, softphones, indicateurs de présence, etc.), les salariés n’en plébiscitent véritablement que trois : le téléphone fixe (toujours le principal outil), le mail (78% des travailleurs sur écran), et le téléphone mobile (62%).

Si les outils électroniques comme les réseaux sociaux professionnels, la messagerie instantanée, les logiciels de téléphonie, les solutions de téléconférence étaient déployés, les salariés non utilisateurs s’en serviraient. Ce qui contribuerait à doubler l’audience de ces outils et préparerait le développement des communications unifiées.

Il y a donc aujourd’hui un décalage important entre les attentes des salariés et ce que leur entreprise leur met à disposition. Ce qui explique partiellement le fait qu’ils apportent leurs outils personnels au travail (smartphone, tablette).

Intentions d'usage des outils de communication

Indicateurs-clés fournis par l’étude

  • Les pratiques de travail en entreprises
    • Travail nomade
    • Télétravail
    • Budget temps
    • Réunions
    • Etc.
  • Les équipements utilisés
    • Equipements fixes : téléphone, micro-casque, webcam, etc.
    • Equipements nomades : ordinateur portable, smartphone, tablette, etc.
    • Types d’abonnements mobiles
    • BYOD : taux d’usage, intentions, leviers/freins, etc.
  • Pratiques de la téléphonie Visioconférence en salle
    • Temps passé au téléphone
    • Part des conversations sur mobile
    • Fonctionalités utilisées sur le fixe et le mobile
  • Usage des outils informatiques de communication
    • Courrier électronique
    • Messagerie instantanée
    • Logiciels de téléphonie
    • Conferencing
    • Réseaux sociaux
    • Communications unifiées
    • Etc.
  • Usage des outils collaboratifs
    • Agenda partagé
    • Partage de documents
    • Etc.
  • Intentions d’usage
    • Outils de communication
    • Outils collaboratifs
  • Retours d’expérienceTaux de présence des solutions utilisées et des acteurs
    • Fréquence d’usage
    • Satisfaction
    • Avantages/inconvénients

Méthodologie

Enquête téléphonique auprès d’un échantillon de 600 établissements (mono-site/multi-sites). Intervalle de confiance de 4% à 95%. Données redressées sur la taille, le secteur d’activité et la zone géographique pour une parfaite représentativité de l’échantillon.
Contact :
Nicolas Amestoy
Directeur des études
Tel : 01 71 16 15 80 / Mel : nicolas.amestoy@schole.fr

Les entreprises renouent avec les investissements de communication en 2014

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Après une année 2013 marquée par un recul net des intentions d’investissements, les entreprises observent un doublement de leurs intentions en 2014 : changement de PBX, passage à la ToIP, externalisation de la téléphonie ou virtualisation du PBX, etc. Si ces tendances se confirment, le marché renouera avec une croissance significative en 2014 et 2015.
Intentions d'investissement des entreprises

Objectifs

  • Fournir aux acteurs du marché une vue d’ensemble de l’équipement en solutions de communication des entreprises : téléphonie fixe,téléphonie mobile, communications électroniques et solutions de communications unifiées.
  • Établir des prévisions de marché à partir des intentions d’investissement/achat déclarées.

Nous avons réalisé une enquête téléphonique de plus de 200 questions auprès de 1000 entreprises segmentées par taille, secteur, zone géographique pour une parfaite représentativité.

Thèmes de l’enquête

  • Equipement informatique
  • Equipement de téléphonie fixe (Box DSL, PBX, IPBX, Centrex, Routeur IP, PBX virtualisé, postes filaires, DECT, Wifi, micro-casques…)
  • Equipement nomade (PC portable, GSM, smartphone, tablette, clé 3G) et détail des contrats GSM (globaux, GSM inclus, “sim-only”, etc.)
  • Equipement en Conferencing (salles et soft)
  • Equipement en solutions informatiques de communication (mails, IM, serveur de messagerie, réseaux sociaux, téléphonie logicielle, etc.)
  • Equipement en outils collaboratifs (partage de documents, agenda partagé, annuaire mutualisé)
  • Pénétration des solutions de communications unifiées
  • Passage à la ToIP et retour d’expérience
  • Mises en oeuvre de technologies Machine-to-Machine et détail
  • Taux de présence des grands offreurs : constructeurs PBX, intégrateurs, opérateurs Centrex, opérateurs fixes, opérateurs mobiles, constructeurs de micro-casques, fournisseurs de services d’audioconférence, fournisseurs de solutions informatiques, de communications unifiées, etc.
  • Intentions d’investissement (téléphonie, solutions de communication), intentions de changement d’opérateur

L’étude est disponible dans son intégralité, ou sous forme de module, ou enfin à l’indicateur.

Le développement de services Vidéo “Over-The-Top” (OTT)

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La montée en gamme du réseau fixe vers du très haut débit, la transition du mobile vers de la 4G permettent de penser qu’à moyen terme (2018-2019) le réseau Internet fixe ou mobile pourra aisément véhiculer de la vidéo en haute définition, voire au format 4K (8 M de pixels contre 2 M pour le Full HD).
Dans ce contexte, Internet deviendra un réseau de distribution comme un autre, en concurrence ou en complément du câble ou du satellite. Plusieurs questions se posent dès lors.

  • A quelles conditions les services vidéo OTT peuvent-ils concurrencer les services broadcast ?
  • Comment les services vidéo OTT peuvent-ils être diffusés sur le téléviseur sachant que la télévision connectée portée par Google ou les fabricants de téléviseurs ne semble pas entrer dans les usages ?
  • Pour paraphraser Netflix, va-t-on assister à la disparition de la télévision linéaire au profit d’un modèle de plus en plus à la demande ?
  • Quelles opportunités pour des “pure players” en concurrence des éditeurs/distributeurs traditionnels ? Et quelles réponses possibles des acteurs traditionnels ?

13 milliards de dollars pour les principaux acteurs OTT en 2013

Le chiffre d’affaires global des acteurs OTT examinés est de 12,8 milliards de dollars en 2013. Chiffre encore modeste, mais appelé à se développer fortement si les offres vidéo OTT réussissent à s’implanter sur le téléviseur.

Le marché est dominé par des opérateurs américains de taille mondiale : les quatre premiers (YouTube, Netflix, iTunes, Hulu) concentrent 99% du chiffre d’affaires total. L’Europe est plutôt mal positionnée sur le marché OTT; les réussites y sont plutôt rares, et demeurent nationales alors que l’empreinte requise doit être mondiale : BBC iPlayer (TV linéaire et catch-up TV), Dailymotion (partage de vidéos), Lovefilm (service de SVOD racheté par Amazon).

CA des acteurs OTT Vidéo

 

Sommaire de l’étude

  1. Le contexte de développement
    • Qu’est-ce qu’un service “Over-The-Top” ?
    • Les réseaux d’accès fixe et mobile
    • Les équipements
    • La demande pour des services vidéo OTT
  2. Les grands acteurs du marché de la SVOD
    • Global
    • Aereo (USA)
    • Apple (USA)
    • AT&T U-V
    • Synthèse de l’étudeerse (USA)
    • BBC iPlayer (GB)
    • Dailymotion (France)
    • Google (USA)
    • HBO (USA)
    • Hulu (USA)
    • Netflix (USA)
    • Now TV (GB)
    • Wherever TV (USA)

Étude parue en avril 2014, 132 pages
158 graphiques et tableaux
Sommaire détaillé

Observatoire des Télécoms en Entreprises 2014

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8ème vague d’enquête

Scholè Marketing lance pour la 8ème année consécutive l’Observatoire des Télécommunications en Entreprises.

Le marché des télécommunications en entreprise connait une évolution majeure : sophistication des équipements fixes et mobiles, développement et convergence des réseaux d’entreprises, dématérialisation des services de communication, développement des communications unifiées, etc. Les acteurs du marché IT ont donc plus que jamais besoin d’une photographie claire du niveau d’équipement des entreprises et de l’adoption des nouveaux outils de communication.

Objectifs

  • Fournir aux acteurs du marché une vue d’ensemble de l’équipement en solutions de communication des entreprises : téléphonie fixe,téléphonie mobile, communications électroniques et solutions de communications unifiées.
  • Mesurer les usages des services de communication en entreprise : téléphonie fixe, services en mobilité, communications unifiées, etc
  • Établir des prévisions de marché à partir des intentions d’investissement/achat déclarées.

Une double enquête pour mieux cerner le marché

  • Une enquête téléphonique auprès de 900 entreprises segmentées taille, secteur, zone géographique pour une parfaite représentativité renseigne sur l’équipement des entreprises.
  • Une enquête en ligne auprès de 600 travailleurs sur écran (knowledge workers) permet demesurer l’adoption et les usages des services de communication.

Enquête Entreprises

  • Équipement des entreprises : fixe, mobile, PBX/centrex/box/cloud telephony, communications électroniques, conferencing, communications unifiées
  • Pénétration et retour d’expérience de la ToIP
  • Part de marché des fournisseurs : opérateurs fixe/mobile, constructeurs, installateurs, micro-casques
  • Intentions d’investissement (téléphonie, solutions de communication), changement d’opérateur

Enquête Salariés

  • Pratiques de travail : télétravail, réunion, environnement de travail
  • Pratiques générales de communication : temps passé à communiquer sur les différents outils
  • Équipements utilisés par les salariés : téléphonie, informatique, équipements nomades (tablettes, smartphones, laptops…)
  • Part de marché des constructeurs et des offreurs de services
  • Usages effectifs des outils de communication, et fréquences : fixe, mobile, mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux, travail collaboratif, communications unifiées, etc.
  • Retours d’expérience : satisfaction, freins, leviers

 

Scholè Marketing, partenaire du salon Cloud Computing World Expo

 

 

 

 

 

 

Baromètre du Cloud Computing 2014

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3ème vague d’enquête

L’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait assez bien le positionnement des prestataires, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande des entreprises.

Quelles sont leurs attentes vis-à-vis des services Cloud ? Quels sont les domaines prioritaires dans lesquels elles comptent investir ? Et à quelle hauteur ? De même, alors que le Cloud soulève un certain nombre de difficultés techniques et organisationnelles, quels sont les freins perçus par les entreprises ? Sont-elles prêtes à changer leur mode de fonctionnement pour utiliser des services hébergés ?

Combien d’entreprises ont recours à des solution Cloud en 2014 ?

En 2012, 28% des entreprises utilisaient un ou plusieurs services hébergés (gratuits ou payants) ; elles sont 36% en 2013. Combien seront-elles en 2014 ?

A partir d’une enquête approfondie auprès des entreprises, représentatives de la population des entreprises, Scholè Marketing mesure la pénétration des différents services de Cloud Computing : Infrastructure as a service (IaaS), Platform as a service (PaaS), Software as a service (SaaS) et Cloud Telephony.

Sommaire du baromètre

  1. Données de cadrageNotoriété du Cloud Computing
    1. Équipement informatique et réseau,
    2. Applications utilisées : bureautique, applications métiers, applications collaboratives, outils de communication, etc.
  2. Usages des services Cloud
    1. Pénétration des services Cloud.
      1. Infrastructure as a service (IaaS)
      2. Platform as a service (PaaS)
      3. Software as a service (SaaS)
      4. Cloud telephony
    2. Caractéristiques des services utilisés : types de services, offreurs/éditeurs, budget, etc.
    3. Retours d’expérience.
  3. Appétence des entreprises pour les services Cloud
    1. Notoriété et intentions d’usage.
    2. Leviers et freins à l’adoption des services Cloud
    3. Budget

Méthodologie

Enquête téléphonique auprès d’un échantillon de 600 établissements (mono-site/multi-sites). Intervalle de confiance de 4% à 95%. Données redressées sur la taille, le secteur d’activité et la zone géographique pour une parfaite représentativité de l’échantillon.
Contact :
Nicolas Amestoy
Directeur des études
Tel : 01 71 16 15 80 / Mel :  nicolas.amestoy@schole.fr
 

Scholè Marketing, partenaire du salon Cloud Computing World Expo

 

100 millions d’abonnés pour Netflix en 2019 ?

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Figure 2 : Prévisions de développement de Netflix
Source : Scholè Marketing

Le marché de la vidéo à la demande sur abonnement (SVOD) dans le monde est constitué d’une dizaine d’acteurs majeurs pour près de 50 M d’abonnés et 4,9 milliards de dollars de revenus estimés. Sans surprise, Netflix domine outrageusement avec 73%  des abonnements totaux et 74% des revenus. Amazon est derrière Netflix avec 15% des abonnements et 14% revenus.

L’évolution de la SVOD sera fortement dépendante des performances de Netflix qui donne le « la » au marché. On constate une accélération de la croissance de l’opérateur entre 2009 et 2013 avec une augmentation de la base abonnée de l’ordre de 38% par an, liée pour partie au développement international.

Si l’on poursuit la courbe, l’opérateur pourrait frôler les 100 M d’abonnés en 2018 (perspective optimiste). De tels chiffres ne pourront s’obtenir que via un développement international, c’est-à-dire essentiellement en Europe (continentale) : niveau de vie élevé, paiement par carte de crédit généralisé, Internet haut débit pour tous et un nombre de foyers équivalent sur les principaux pays à celui des États-Unis. Toutefois, on peut considérer que l’atomisation des marchés européens, la nécessité d’une localisation poussée en fonction des pays, les divergences entre règlementations vont rendre plus difficile la pénétration du marché européen, auquel cas Netflix serait plutôt crédité de 74 M d’abonnés en 2018.

Hors en Grande-Bretagne et peut-être en Allemagne, il n’existe pas d’acteur de taille suffisante susceptible de faire de l’ombre à Netflix. Seuls Amazon via sa filiale Lovefilm ou son service Prime Instant Video et Clarovideo en Amérique latine constituent des menaces crédibles pour Netflix.

Perspectives de la SVOD dans le monde

Étude internationale, janvier 2014, 95 pages

55% des entreprises passées à l’IP en France

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En l’espace de 4 ans, le nombre d’entreprises de 6 salariés et plus passées à l’IP a enregistré un doublement, passant de 27% en 2010 à 55% en 2013, soit une croissance annuelle moyenne de 23% par an. Toutefois, après une période de croissance très soutenue (2010-2012), la progression de l’IP marque le pas en 2013, avec un « petit » 4% d’évolution, traduction des difficultés économiques essuyées par le pays.

Si on raisonne en termes d’empreinte salariale, ces 55% d’entreprises correspondent en théorie à 47% des salariés. Le marché pâtit en France de la faiblesse du tissu des PME (50 à 499 salariés), peu nombreuses. De sorte que la progression de l’IP intervient en quelque sorte en tenaille avec des Grands Comptes sensibilisés aux bénéfices de configurations professionnelles et des TPE attirées par des Box issues du marché grand public.

Même pour des Grands Comptes, les investissements ne sont ni d’un seul tenant ni uniformes. Fonction de la centralisation ou non de l’entreprise, tous les sites ou filiales ne passent pas en même temps à l’IP. Voire, à l’intérieur d’un même établissement peut coexister une architecture IP de pair avec des postes TDM. Du reste, la grande majorité des entreprises passées à l’IP conservent des accès télécoms classiques « par sécurité ».

La télévision, un média social par nature

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1.     Le lieu commun de l’échange

Loin d’isoler les individus dans leur salon comme on pourrait le croire, la télévision, parce qu’elle est partagée par tous, apparaît comme un objet éminemment social. Trois-quarts des internautes déclarent ainsi discuter de la télévision et de ses programmes au sein de leur foyer, entre amis ou au travail. Une activité régulière qu’ils pratiquent 3 à 4 fois par semaine en moyenne.

Figure 1 : Propension à discuter de programmes de télévision

Cette dimension sociale inhérente à la télévision va trouver une occasion inédite de se développer sur internet et les réseaux sociaux.

2.     Internet et les réseaux sociaux permettent de discuter hors du cercle le plus immédiat

En 2012, 72% des français de 11 ans et plus accèdent à internet ; parmi eux, 75% sont inscrit sur un réseau social et 70% sur Facebook. Se constitue dès lors une forme d’alliance objective entre des contenus dont on aimerait discuter et des moyens de communiquer largement : sites internet, blogs, forums, plateformes de télévision de rattrapage, comptes Facebook ou Twitter des chaînes, des émissions et des animateurs, etc.

Face à cet essor rapide, la télévision a investi massivement l’univers du web. Sur internet, les sites de chaînes attirent de larges audiences. De même, sur Facebook, les pages liées à la télévision sont les plus suivies, loin devant les marques alimentaires, les films, etc.

Figure 2 : Types de pages suivies sur Facebook

Le phénomène de socialisation autour de la télévision se transpose donc dans l’univers du web. Mais au-delà de la simple discussion, les internautes se voient offrir des possibilités inédites d’interaction avec les programmes et les chaînes.

3.     31% des internautes font de la Social TV à des degrés divers

31% des internautes interagissent avec le petit écran à raison de 3 fois par semaine en moyenne. Pour une palette d’interactions étendue : pour beaucoup (21% des internautes), il s’agit de consulter des avis ; mais aussi commenter un programme sur un site ou un réseau social, partager une vidéo de télévision, jouer ou voter dans le cadre d’un programme TV, poser une question qui sera reprise à l’antenne, etc. Et sur une variété de supports : on préfèrera les réseaux sociaux pour discuter des programmes et partager des vidéos tandis que les sites internet et les services de rattrapage seront plus souvent employés pour interagir avec les programmes (poser des questions, voter pour un participant, etc.).

Internet et les réseaux sociaux n’ont pas suscité la dimension sociale de la télévision ; mais ils l’étendent sans doute hors du cercle immédiat des discussions entre proches et l’amplifient à un nombre d’interlocuteurs inédit.

Figure 3 : Activités en lien avec la télévision pratiquées sur internet ou les réseaux sociaux

Cloud gaming, la France en tête

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 Perspectives du Cloud Gaming dans le monde, Décembre 2013, 92 pages

En 2013, on recense 13 services de Cloud Gaming en activité dans le monde. Grâce à un marché de l’IPTV qui fait référence dans le monde (en 2013, 31% des foyers reçoivent la télévision par l’ADSL ou la fibre optique), la France se positionne comme le pays le plus avancé en matière de Cloud Gaming avec 3 plateformes fournies par des opérateurs d’IPTV (Bouygues Telecom, Orange et SFR) et un service accessible sur ordinateur (Metaboli).

Près de la moitié des services recensés sont disponibles via une offre multiplay, ce qui fait de l’IPTV le principal vecteur du Cloud Gaming. Grâce à un large écran haute définition, le téléviseur est le terminal le plus approprié pour le jeu vidéo car il offre l’expérience la plus immersive. Mais contrairement aux ordinateurs ou aux terminaux nomades, le téléviseur ne dispose pas de capacités de calcul permettant d’afficher des jeux vidéo. L’IPTV vient combler ce déficit en reliant le téléviseur à internet et s’impose comme le support privilégié des services de Cloud Gaming.

L’intérêt des communications unifiées en entreprises – Interview BFM du 28 nov. 2013

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Retour sur le Baromètre de la Mobilité en entreprises – Interview Microsoft du 13 Nov. 2013

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Observatoire l’IP Transformation (ToIP) en entreprises

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Pour la 7ème année consécutive, Scholè Marketing a mené en 2013 une enquête auprès de 900 sociétés (DSI) + 500 salariés pour mesurer le passage à la ToIP des entreprises et les pratiques des travailleurs sur écran.
En l’espace de 4 ans, le nombre d’entreprises de 6 salariés et plus passées à la ToIP a doublé, passant de 27% en 2010 à 55% en 2013. On peut escompter que 60% des entreprises auront adopté une ou plusieurs solutions IP de communication en 2015.

Plusieurs questions se posent :

  1. Quels sont les solutions ToIP privilégiées par les entreprises ?
  2. Assiste-t-on à un décollage d’offres dématérialisées (Centrex, Cloud Telephony) ?
  3. Quels sont les leviers et les freins du passage à la ToIP ?
  4. La ToIP contribue-t-il à rebattre les cartes des acteurs en introduisant une nouvelle concurrence ?
  5. Quels sont les projets des entreprises en matière de téléphonie ?

 

Perspectives de la Social TV, analyse internationale

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Dès la mise sur le marché du premier iPhone (9 janvier 2007), sortent de premières applications d’accompagnement à la télévision comme BeeTV  (discuter autour de la télévision) ou Buddy TV (guide de programme TV). Mais, c’est à partir de 2010 (sortie de l’iPad en avril 2010) que les applications se multiplient et on en dénombre plus d’une vingtaine. Tous ces services bénéficient de l’incroyable développement d’applications dans les magasins centralisés comme l’appStore.

Source : Technicolor

Si la Social TV suscite beaucoup de « buzz », il convient toutefois de mesurer la réalité et l’impact de ce marché. Quels sont les acteurs qui organisent les dispositifs de Social TV ? Quels résultats affichent-ils en termes d’interaction ? Quelles sont les perspectives ? Qu’en est-il des acteurs traditionnels (éditeurs de programmes ou même réseaux sociaux) ?

Baromètre du nomadisme et de la mobilité

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A partir d’une enquête approfondie auprès de 1.000 entreprises, représentatives de la population des entreprises en France de 1 salarié et plus, et 500 travailleurs sur écran, Scholè Marketing s’attache à évaluer le poids du nomadisme et de la mobilité en entreprises. Concrètement, nous avons mesuré la pénétration des terminaux nomades en entreprise, ainsi que les usages effectifs des salariés. 75% des entreprises sont équipées de terminaux nomades :

Parmi les problématiques traitées :

  1. Comment le développement du GSM dans l’entreprise s’articule-t-il avec le parc existant de téléphones fixes ? Y a-t-il duplication des équipements pour une même personne ou au contraire substitution, les GSM tendant à remplacer les téléphones fixes?
  2. Quel est le poids du nomadisme et du télétravail en entreprise ? Ce poids va-t-il aller croissant favorisant de fait les outils nomades (PC portable, smartphone, tablette) ?
  3. Le « Bring Your Own Device » (BYOD) semble s’installer durablement comme tendance de fond dans l’entreprise. Si les entreprises fournissent dans la grande majorité des cas les téléphones mobiles pour leurs salariés travaillant sur écran, il semble que ceux-ci apportent majoritairement leur équipement personnel dans le cas d’un smartphone ou d’une tablette. Ce phénomène est-il amené à se renforcer à l’avenir?

Baromètre du Cloud Computing en entreprises

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L’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait assez bien le positionnement des prestataires, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande des entreprises.

Quelles sont leurs attentes vis-à-vis des services Cloud ? Quels sont les domaines prioritaires dans lesquels elles comptent investir ? Et à quelle hauteur ? De même, alors que le Cloud soulève un certain nombre de difficultés techniques et organisationnelles, quels sont les freins perçus par les entreprises ? Sont-elles prêtes à changer leur mode de fonctionnement pour utiliser des services hébergés ?

A partir d’une enquête approfondie auprès de 600 entreprises, représentatives de la population des entreprises en France de 6 salariés et plus, Scholè Marketing a mesuré la pénétration des différents services de Cloud Computing : Infrastructure as a service (IaaS), Platform as a service (PaaS), Software as a service (SaaS) et Cloud Telephony.

36% des entreprises ont recours à une ou plusieurs solutions Cloud. Toutefois, peu d’entreprises connaissent le terme « Cloud Computing » et moins encore comprennent réellement de quoi il s’agit.

L’impact de la Social TV

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La télévision sociale (ou social TV) recouvre toutes les interactions qui peuvent avoir lieu avant, pendant et après la diffusion du programme à l’antenne : voter, jouer, poser des questions, commenter, recommander, critiquer, etc. Bref, le spectre de la social TV est très large et ne se résume pas aux seuls commentaires publiés en direct.

Scholè Marketing a conduit en juillet une enquête approfondie quantitative et qualitative auprès de 1 000 internautes pour apprécier les attentes en termes d’interactions et l’impact dans la relation des auditeurs aux programmes ou aux chaînes TV.

Loin d’être l’apanage d’une petite frange de la population particulièrement adepte des réseaux sociaux, la capacité de discuter autour des programmes ou d’interagir avec une production ou des animateurs est recherchée par la plupart ; seuls diffèrent les moyens pour y parvenir, blogs, forums et sites des chaînes pour certains, réseaux sociaux pour les plus jeunes. Et ceci s’inscrit dans un mouvement généralisé de notation, évaluation et discussion autour des biens et services. Compte tenu des attentes énoncées par les internautes, une grande majorité d’entre eux pourrait s’être converti à la télévision sociale à court terme.

Quelle demande pour un Dongle HDMI à brancher sur le téléviseur ?

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Sont commercialisées depuis peu des dongles HDMI, sortes de grosses clés USB à brancher sur les ports HDMI du téléviseur. Ce faisant, il est possible d’accroître considérablement les possibilités du téléviseur : il peut par exemple accéder à l’Android AppStore pour faire jouer des applications sur grand écran, devenir une passerelle multimédias comme l’Apple TV, ajouter des fonctionnalités de TV connectée, ou faire de la duplication d’écran (PC, smartphone, tablette) sur téléviseur. Le lancement de Chromecast par Google illustre les possibilités offertes par les dongles HDMI.

Dans un contexte de ralentissement des renouvellements de téléviseurs après le passage à la HD, le Dongle HDMI peut constituer une opportunité pour accroître les capacités du téléviseur à moindre coût. Cependant, existe-t-il une demande et à quel prix pour un tel “upgrade” du téléviseur ?

Observatoire des télécommunications en entreprises

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L’Observatoire des télécommunications en entreprises est paru. Il traite de tous les outils de communication en entreprise : téléphone fixe, téléphone mobile, communications électroniques, conferencing, outils collaboratifs, communications unifiées. L’étude s’appuie sur :

  • Une enquête auprès de 900 entreprises (DSI, directions télécoms)
  • Une enquête auprès de 500 salariés travailleurs sur écran

Baromètre de satisfaction des distributeurs télécoms

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Comme chaque année depuis 6 ans, Scholè Marketing réalise pour le compte du Journal des Télécoms le Baromètre de la satisfaction des distributeurs télécoms en France. Scholè Marketing interroge 200 installateurs/intégrateurs et 400 revendeurs GSM.

  1. Installateurs/intégrateurs
    • Données de cadrage
    • Typologie des installateurs
    • Taux de présence des acteurs
    • Satisfaction exprimée des installateurs/intégrateurs vis-à-vis de leurs fournisseurs
  2. Revendeurs GSM
    • Données de cadrage
    • Typologie des revendeurs GSM
    • Taux de présence des acteurs
    • Satisfaction exprimée des revendeurs GSM vis-à-vis de leurs fournisseurs

Perspectives des technologies P2P en entreprises

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Si les technologies Peer-to-Peer ont observé un énorme développement dans le cadre de protocoles de téléchargement, ou de téléphonie (Skype), existe-t-il des opportunités pour des services à usage professionnel en entreprise ? La technologie P2P, décentralisée est-elle compatible avec le minimum de centralisation exigé par des organisations ? Existe-t-il des domaines d’application privilégiés pour des technologies P2P ?

  • Application collaborative d’entreprise décentralisée ;
  • Réseau social grand public décentralisé ;
  • Application dans le domaine de la santé (ajoutée) ;
  • Humanitaire : gestion de désastres, renforcement des infrastructures ;
  • Défense, sécurité, espionnage.

Quel marché pour un boitier multimédia à brancher sur le téléviseur ?

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Le récepteur TV est aujourd’hui le dernier écran à ne pas être connecté nativement à Internet, lors même que les contenus audiovisuels sont très nombreux sur la toile, et que la consommation de vidéos en ligne est largement répandue. Il est inévitable que les consommateurs de vidéos en ligne ou de services de télévision de rattrapage souhaitent accéder à ceux-ci sur leur téléviseur écran plat flambant neuf du salon. Toutefois, sont-ils disposés à acheter très rapidement après avoir remplacé leur écran cathodique un nouveau téléviseur pour disposer de fonctionnalités de la télévision connectée ? C’est peu probable, et la 3D ne semble pas un moteur suffisant pour renouveler leur récepteur.

Dès lors, y a-t-il un marché pour un équipement dédié de connexion Internet pour le téléviseur (ou boitier multimédia) à l’instar de l’Apple TV ou du Sony Google TV ? Et quelles sont les perspectives à terme pour un nouvel acteur ?

Nouveau programme d’études 2013

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Le programme d’études 2013 de Scholè Marketing est paru !

Parmi les nouveautés, on notera le lancement du Baromètre de la mobilité et du nomadisme, enquête fournissant un panorama complet des équipements et des usages nomades dans les entreprises françaises : terminaux nomades, BYOD, usages professionnels des tablettes, sécurité des terminaux nomades, roaming, etc. 

Le pôle Etudes Médias n’est pas en reste et s’enrichit, entre autres, d’une enquête sur les pratiques de social TV. Objectif : dresser un état des lieux des pratiques de social TV chez les français et mesurer leur impact sur la consommation TV.

 

Pour en savoir plus sur l’ensemble des études du cabinet, téléchargez le programme d’études 2013 :

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10 ans d’évolution du secteur audiovisuel

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Au cours de la dernière décennie, la révolution numérique a proprement bouleversé le secteur audiovisuel. La diversification des plateformes de diffusion télévisuelle, l’accroissement du nombre de chaînes, l’amélioration de la qualité de l’image avec le passage à la haute définition, la démocratisation de l’équipement numérique des Français (large adoption du haut débit, multiplication des écrans), l’essor des services audiovisuels à la demande et l’évolution des modes de consommation des contenus ont contribué à une transformation radicale du paysage audiovisuel français. Dès lors, quelles sont les conséquences de cette évolution sur le secteur de la télévision ?

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Source : Scholè Marketing, d’après Comscore

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De plus en plus de multi-accès TV en France ?

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Jusqu’à une date récente, on accédait à la télévision par un seul mode de réception : antenne hertzienne (le plus souvent), ou câble, ou satellite. L’arrivée de la télévision sur ADSL a complexifié sensiblement nos manières de recevoir la télévision. Et désormais, les foyers ayant souscrit à un abonnement multiplay peuvent disposer de la télévision via l’ADSL mais également via la prise antenne TNT disponible dans la plupart des logements. Dès lors, comment les foyers organisent-ils la réception TV sur leur téléviseur principal ? Privilégient-ils un seul mode de réception (gage de simplicité) ou combinent-ils plusieurs modes de réception, gage de sécurité en cas de défaillance ou de moindre réception sur l’un ou l’autre réseau ?

Scholè Marketing a mené une étude inédite sur la réalité du multi-accès TV en France et plus particulièrement auprès des foyers multiplay.

La TV connectée est devenue une réalité pour une part considérable des Français !

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D’après les derniers résultats du Baromètre de la TV Connectée (novembre 2012), l’adoption de la TV Connectée a connu un large essor cette année. Alors que 60% des internautes déclarent connaître la télévision connectée, 44% d’entre eux revendiquent posséder un téléviseur connecté (c’est à dire permettant l’accès à des services en ligne) quel que soit le moyen de connexion : Smart TV, box ADSL, console de salon connectable, boitier dédié (Sony Google TV, Apple TV, etc.), etc. Au delà du simple équipement, 26% des internautes déclarent utiliser des services connectés sur leur téléviseur : télévision de rattrapage, vidéo sur des sites de partage, vidéo à la demande, services pratiques d’information, diffusion des contenus présents sur l’ordinateur, etc.

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Nouvelle étude sur le marché français du PBX Asterisk

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Asterisk Scholè Marketing

En octobre 2012, Scholè Marketing a réalisé une étude sur le marché du PBX Asterisk en France. Il s’agit d’une part de déterminer le marché du renouvellement du PBX et d’autre part de mesurer l’intérêt des intégrateurs pour une solution de type PBX.

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Une adoption significative des nouveaux outils de communication et de collaboration

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Selon les derniers résultats de l’Observatoire des Télécoms, les entreprises ont considérablement élargi le panel de leurs outils de communication et adopté de nouvelles solutions collaboratives (on parle aussi de communications unifiées). Au téléphone et au courrier électronique s’ajoutent désormais de multiples outils tels la messagerie instantanée ou les réseaux sociaux, services qui rencontrent un succès massif auprès du grand public. Mais si les entreprises semblent avoir franchi le pas, qu’en est-il des collaborateurs qui les composent ? Car au-delà des plans d’équipement mis en oeuvre pas les DSI se pose la question de l’adoption de ces nouveaux outils par les salariés. Comment ces nouveaux services sont-ils perçus ? Et plus avant quel est leur niveau d’adoption réel par les collaborateurs ? Pour répondre à ces questions, Scholè Marketing a mené une enquête auprès de 700 salariés et dirigeants d’entreprises pour comprendre leurs pratiques de travail et leurs usages des nouveaux outils de communication et collaboration.

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Le Cloud est connu par la moitié des entreprises !

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Cloud Scholè Marketing

L’essor des services informatiques hébergés (ou Cloud computing) constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Pour les acteurs du marché informatique l’enjeu est crucial, le Cloud pouvant redistribuer les cartes entre éditeurs traditionnels et fournisseurs de services en ligne. Pour les entreprises, il s’agit d’une étape essentielle vers la rationalisation de leurs infrastructures IT. Or si l’on connait assez bien le positionnement des prestataires, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande réelle des entreprises en matière de services hébergés. Combien d’entreprises connaissent les services Cloud ? Combien en font usage ? Quel est leur profil ? Et quels services utilisent-elles réellement ? Combien souhaitent utiliser des services hébergés à court terme ?

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Des signaux positifs sur le marché des télécoms d’entreprise

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Dans un contexte de crise, le marché des télécoms d’entreprise affiche des signes de bonne santé. C’est ce que révèlent les derniers résultats de l’Observatoire des télécoms de Scholè Marketing, qui mesure chaque année l’équipement et les usages des entreprises dans le domaine des télécommunications. Plusieurs indicateurs sont en effet au vert : le renouvellement des PBX à court terme, la pénétration de la ToIP/VoIP, sa notoriété et les intentions de migration des entreprises sont autant d’indices qui laissent entrevoir une reprise du marché.

Premier indicateur positif mesuré par l’étude, l’adoption des solutions de ToIP/VoIP continue de progresser dans les entreprises : en 2012, près de la moitié d’entre elles sont concernées. L’enquête montre que l’IP reste un marché recouvrant des réalités très diverses selon les types d’entreprise. Ainsi, les petits comptes sont très équipés en box ADSL qu’ils utilisent pour la voix et l’accès data, profitant ainsi des offres forfaitisées et illimitées des opérateurs. En revanche, les moyennes et grandes entreprises sont dotées de solutions de plus grande envergure, type IPBX, Routeur IP, ou Centrex.

télécoms d'entreprise Scholè Marketing

Source : Scholè Marketing, juin 2012

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La 4D ou les nouvelles perspectives du cinéma

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Sentir son siège vibrer lors d’une scène d’action au cinéma ou éprouver une sensation de chaud lorsqu’un personnage traverse un incendie, telles sont les sensations proposées par les séances de cinéma dites « 4D ». La 4D repose sur le déclenchement d’effets sensoriels « physiques » au cours de la projection d’un film : mouvement, souffle, diffusion de brume, d’odeurs, etc. L’objectif est d’accentuer l’immersion du spectateur dans le film par une expérience sensorielle sophistiquée. Si ce type de projection existe depuis un certain nombre d’années dans les parcs d’attractions tels le Futuroscope, son apparition dans plusieurs circuits de cinéma classiques constitue un fait nouveau dans l’exploitation cinématographique.

Dans sa dernière étude, le cabinet Scholè Marketing dresse un panorama de ce marché émergent et fournit des pistes pour apprécier ses perspectives de développement.

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Loisirs culturels des Internautes : des pratiques riches et diversifiées

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Aux termes de Médiamétrie, la France compte 36,6 M d’Internautes à domicile, soit plus de la moitié des Français. Indéniablement la diffusion d’offres haut débit multi-services dites « triple play » à partir de 2003 a-t-elle contribué à ouvrir en grand les vannes de la démocratisation d’Internet en France. Internet est tout à la fois un média d’information, un canal de distribution des médias existants et un support de loisirs. On y recherche des adresses, des biens et services ; on y lit les grands titres des journaux, mais également, on y joue à des jeux sociaux, on y regarde des vidéos, on y passe beaucoup de temps à lire sur des forums, des blogs, des sites Internet… En bref, Internet est une sorte d’activité totale qui rassemble toutes les autres et qui introduit des pratiques inédites.

Dès lors quel est l’impact d’Internet sur la vie des individus ? Internet à domicile introduit-il une rupture dans les pratiques des individus, ou au contraire ne modifie-t-il qu’à la marge les comportements ? Internet conduit-il par exemple les « digital natives » (jeunes générations nées avec Internet, voire avec Facebook) à délaisser la télévision ? Les Internautes se satisfont-ils de loisirs « scotchés » sur l’écran du PC ou de la tablette, ou au contraire Internet aurait-il tendance à démultiplier tous les loisirs, y compris les plus classiques ? Bref, qui sont les Internautes à domicile ?

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Les entreprises sont matures pour adopter les outils de Conferencing

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Scholè Marketing publie chaque année un baromètre sur le marché français du conferencing (audio/visio/webconférence). Avec un dispositif d’étude basé sur une double enquête, interrogeant un échantillon d’entreprises (de 6 salariés et plus) et un échantillon de cadres/dirigeants, le cabinet sonde à la fois l’équipement des organisations et les pratiques des utilisateurs. Selon les derniers résultats publiés fin 2011, le marché est aujourd’hui largement mature avec des taux de notoriété et d’usage importants chez les cadres. En revanche l’équipement se concentre encore sur un certain type d’entreprises, plutôt grands comptes et à dimension internationale. Enfin l’étude révèle une réelle appétence des utilisateurs pour les solutions de téléconférence. Bien que plus réservées, les petites et moyennes entreprises réfléchissent aussi à intégrer ces outils, ce qui laisse entrevoir des perspectives de développement dans les années à venir.

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Programme d’études 2012

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Le programme d’études de Scholè Marketing pour l’année 2012 est paru !

Articulé en deux volets (Equipements et services IT en Entreprise/Nouvelles pratiques audiovisuelles à l’ère numérique), le programme dévoile l’ensemble des études qui seront publiées au cours de l’année à venir.

Téléchargez le programme d’études en cliquant sur le lien ci-dessous :

N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir davantage d’information sur les études 2012 !

Le free to play, un nouveau modèle économique du jeu vidéo

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 free to play Scholè Marketing

« Ne faites pas payer les gens pour qu’ils s’amusent, amusez-les pour qu’ils paient »

Jamie Cheng, fondatrice de Klei Entertainement

A l’heure où l’éditeur de jeux vidéo communautaires Zynga s’apprête à entrer en bourse, Scholè Marketing s’est penché vers ce nouveau segment du jeu vidéo : le free to play.

Les jeux vidéo free to play, c’est-à-dire, en accès gratuit, qu’ils soient accessibles sur le navigateur Internet, en téléchargement gratuit, ou sur terminaux mobiles à un coût modique (moins de 1€), connaissent un succès grandissant et s’imposent peu à peu comme un complément du jeu traditionnel (i.e. payant). Autrefois réservé à une clientèle de joueurs dits core ou hardcore, qui font de ce loisir une pratique intensive, le jeu vidéo attire désormais les foules grâce à ces nouveaux jeux très accessibles. Un simple phénomène de mode ou une réelle tendance de fond ?

Dans sa dernière étude, Scholè Marketing dresse un panorama du marché du free to play en analysant plus particulièrement les modèles économiques mis en place, ainsi que les nouveaux modes de consommation qui en découlent. Si ces jeux connaissent un véritable succès auprès de la population, l’étude de Scholè Marketing démontre qu’ils s’inscrivent dans une tendance de fond, par la solidité de leurs modèles économiques et la pertinence de leurs stratégies, faisant de ce nouveau segment un relai de croissance salutaire pour les acteurs de cette industrie.

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La télévision de rattrapage, une révolution dans le paysage audiovisuel ?

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télévision de rattrapage Scholè Marketing

Regarder sur Internet le dernier épisode de sa série favorite parce que l’on a raté sa diffusion à la télévision est aujourd’hui banal. Depuis quelques années, les services de télévision de rattrapage (TVR), traduction de l’anglicisme « Catch-up TV », permettent aux téléspectateurs d’accéder gratuitement et à toute heure à la plupart des contenus diffusés par les chaînes de télévision, ce pendant un temps limité. En France, c’est plus de la moitié des internautes qui déclare regarder des programmes TV de cette manière. Une tendance lourde donc. Mais quel est l’impact réel de la télévision de rattrapage sur le marché audiovisuel ?

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