Livre blanc : regards d’experts sur l’arrêt du RTC
6 marsImpact sur les entreprises et conséquences sur l’écosystème
Pour le compte du CDRT (Club des Dirigeants Réseaux et Télécoms), Scholè Marketing a élaboré un livre blanc sur l’impact de l’arrêt du RTC pour les entreprises.
Orange, (ex. France Télécom), a annoncé le 18 février 2016, qu’il allait procéder à l’arrêt du réseau historique d’acheminement des communications téléphoniques, le Réseau Téléphonique Commuté (RTC).
Construit autour des années 80, le réseau téléphonique commuté (lignes analogiques et numériques[1]) est basé sur une technologie en fin de vie. Selon l’opérateur historique, les constructeurs et équipementiers ne fabriquent plus les commutateurs, et les salariés ne sont pas formés à cette technologie. En sorte que la maintenance est coûteuse, et de plus en plus difficile avec une qualité de service qui risque de chuter.
En parallèle, la Voix sur IP a pénétré largement les foyers via les box multi-services (ou multiplay) des fournisseurs d’accès Internet. Et au troisième trimestre 2016, sur 39 M d’abonnements au téléphone fixe (grand public et entreprises), on compte 27,2 M d’abonnements en Voix sur IP (70 %), et seulement 11,8 M d’abonnements téléphoniques en RTC (30 %).
La France compte 4,7 M d’entreprises, dont 3,3 M d’entreprises sans salariés[1]. L’Arcep[2] comptabilise 9,4 M d’abonnements à la téléphonie fixe par les entreprises, soit 2 abonnements par entreprise en moyenne.
Quels sont les usages en entreprises pour les accès analogiques et numériques ? Ces usages sont relativement nombreux comme on le voit dans le tableau ci-dessous.
Tableau 1 : USAGES DU RTC DANS L’ENTREPRISE – SOURCE SCHOLÈ MARKETING
Cloud Week : Scholè Marketing vous invite le 8 Juillet
1 juilletUNE MATINEE POUR FAIRE LE POINT
Le mercredi 8 juillet – PARIS
Le marché des Communications unifiées (téléphonie fixe et mobile, collaboration, visioconférence …) dans les entreprises évolue de manière à répondre à une demande croissante – mais encore limitée – des entreprises pour avoir de la flexibilité (adaptation aux évolutions du périmètre), une possibilité de paiement en fonction de l’usage, la certitude de pouvoir bénéficier des évolutions technologiques et une simplicité d’usage.
Cette évolution des besoins induit un changement important de la part des acteurs (équipementiers, opérateurs, intégrateurs), un changement de business model (par la remise en cause notamment du modèle traditionnel de maintenance ou la fourniture directe de services par les constructeurs et les éditeurs) et produit un impact majeur sur les acteurs de l’offre (redéfinition du rôle de distributeur, nouvelle valeur ajoutée à trouver pour les revendeurs, …)
De nouveaux acteurs apparaissent, d’autres se regroupent et tous introduisent à leur rythme ce nouveau business model.
L’émergence d’acteurs internationaux vient modifier les positions en place
VaaS (Video as a Service), UCaaS (Unified Communication as a service), centrex fixe ou centrex mobile sont quelques-uns des services disponibles dans le Cloud.
Le CDRT réunit, à l’occasion de cette matinée, quelques uns des acteurs les plus innovants ou dynamiques sur le marché ainsi que les demandeurs et acheteurs de nouveaux services (grâce à son partenariat avec CRESTEL) et des intégrateurs.
A travers une série de tables rondes et de conférences plénières, le CDRT abordera l’état des lieux , les attentes et les évolutions du marché du Cloud des Communications Unifiées en réunissant des constructeurs, intégrateurs, éditeurs, opérateurs et clients finaux.
La participation à cette journée est gratuite mais réservée aux professionnels du secteur – elle est donc soumise à approbation (les places sont limitées)
Nous vous y attendons nombreux …
Stéphane Grasset, Président du CDRT
LE PROGRAMME
8h30 | Accueil café |
8h45 | Conférence d’ouverture : Introduction du Président du CDRT – Stéphane Grasset – qui mettra en avant certains paradoxes entre le développement du Cloud en téléphonie et lemodèle traditionnel qui reste encore largement majoritaire.Présentation des tables rondes, des intervenants et des sponsors
Stéphane Grasset – Président du CDRT et Associé de Apps2com |
9h10 | Table Ronde N°1 Visio conférence : Comment se positionner entre les modèles collaboratifs (Skype for Business Google Hangouts,…), le WebRTC, les solutions cloud et les salles ?
|
10h00 | Table Ronde N°2 Communication Unifiée : Téléphonie dans le cloud ; Qui fait quoi entre l’opérateur, le constructeur/éditeur et l’intégrateur
|
10h45 | Pause café – rencontre avec les intervenants |
11h00 | Table Ronde N°3 TOIP : l’IPBX installé chez le client final est-ce un modèle en voie de disparition ?
|
11h45 | Conférence de clôture et débat avec les intervenants |
12h15 | Déjeuner – rencontre avec les intervenants (sur invitation préalable seulement) |
Les intervenants
En cliquant sur les logos – découvrez la page de présentation de chacun de nos partenaires
Liste des intervenants et soutiens – par ordre alphabétique
Usages et pratiques des outils de communication en entreprise
4 juilletL’étude 2014 est parue!
En contrepoint de l’enquête auprès des entreprises (1000 entreprises interrogées) qui renseigne sur la pénétration des outils de communication et les intentions d’investissements des entreprises (Observatoire des Télécoms en Entreprises), Scholè Marketing enquête auprès des salariés (600 travailleurs sur écran) pour savoir quels sont les usages effectifs des outils de communication.
Les outils de communication en entreprises sont-ils utilisés, et avec quelle fréquence ? Quelle appréciation les salariés ont-ils de ces outils ? Les communications électroniques ou virtuelles sont-elle appelées à détrôner le téléphone fixe ? Voire le mobile ? Les salariés sont-ils débordés par la multiplication des outils de communication ou arrivent-ils à les gérer correctement ?
Des salariés en attente de plus d’outils de communication
Malgré le développement des outils de communication en entreprises (téléphone fixe, téléphone mobile, micro-casques, outils de téléconférence, mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux, softphones, indicateurs de présence, etc.), les salariés n’en plébiscitent véritablement que trois : le téléphone fixe (toujours le principal outil), le mail (78% des travailleurs sur écran), et le téléphone mobile (62%).
Si les outils électroniques comme les réseaux sociaux professionnels, la messagerie instantanée, les logiciels de téléphonie, les solutions de téléconférence étaient déployés, les salariés non utilisateurs s’en serviraient. Ce qui contribuerait à doubler l’audience de ces outils et préparerait le développement des communications unifiées.
Il y a donc aujourd’hui un décalage important entre les attentes des salariés et ce que leur entreprise leur met à disposition. Ce qui explique partiellement le fait qu’ils apportent leurs outils personnels au travail (smartphone, tablette).
Indicateurs-clés fournis par l’étude
- Les pratiques de travail en entreprises
- Travail nomade
- Télétravail
- Budget temps
- Réunions
- Etc.
- Les équipements utilisés
- Equipements fixes : téléphone, micro-casque, webcam, etc.
- Equipements nomades : ordinateur portable, smartphone, tablette, etc.
- Types d’abonnements mobiles
- BYOD : taux d’usage, intentions, leviers/freins, etc.
- Pratiques de la téléphonie Visioconférence en salle
- Temps passé au téléphone
- Part des conversations sur mobile
- Fonctionalités utilisées sur le fixe et le mobile
- Usage des outils informatiques de communication
- Courrier électronique
- Messagerie instantanée
- Logiciels de téléphonie
- Conferencing
- Réseaux sociaux
- Communications unifiées
- Etc.
- Usage des outils collaboratifs
- Agenda partagé
- Partage de documents
- Etc.
- Intentions d’usage
- Outils de communication
- Outils collaboratifs
- Retours d’expérienceTaux de présence des solutions utilisées et des acteurs
- Fréquence d’usage
- Satisfaction
- Avantages/inconvénients
Méthodologie
Nicolas Amestoy
Directeur des études
Tel : 01 71 16 15 80 / Mel : nicolas.amestoy@schole.fr
Baromètre du Cloud Computing 2014
17 mars3ème vague d’enquête
L’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait assez bien le positionnement des prestataires, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande des entreprises.
Quelles sont leurs attentes vis-à-vis des services Cloud ? Quels sont les domaines prioritaires dans lesquels elles comptent investir ? Et à quelle hauteur ? De même, alors que le Cloud soulève un certain nombre de difficultés techniques et organisationnelles, quels sont les freins perçus par les entreprises ? Sont-elles prêtes à changer leur mode de fonctionnement pour utiliser des services hébergés ?
Combien d’entreprises ont recours à des solution Cloud en 2014 ?
En 2012, 28% des entreprises utilisaient un ou plusieurs services hébergés (gratuits ou payants) ; elles sont 36% en 2013. Combien seront-elles en 2014 ?
Sommaire du baromètre
- Données de cadrageNotoriété du Cloud Computing
- Équipement informatique et réseau,
- Applications utilisées : bureautique, applications métiers, applications collaboratives, outils de communication, etc.
- Usages des services Cloud
- Pénétration des services Cloud.
- Infrastructure as a service (IaaS)
- Platform as a service (PaaS)
- Software as a service (SaaS)
- Cloud telephony
- Caractéristiques des services utilisés : types de services, offreurs/éditeurs, budget, etc.
- Retours d’expérience.
- Pénétration des services Cloud.
- Appétence des entreprises pour les services Cloud
- Notoriété et intentions d’usage.
- Leviers et freins à l’adoption des services Cloud
- Budget
Méthodologie
Nicolas Amestoy
Directeur des études
Tel : 01 71 16 15 80 / Mel : nicolas.amestoy@schole.fr
Scholè Marketing, partenaire du salon Cloud Computing World Expo
Cloud gaming, la France en tête
16 janvierPerspectives du Cloud Gaming dans le monde, Décembre 2013, 92 pages
En 2013, on recense 13 services de Cloud Gaming en activité dans le monde. Grâce à un marché de l’IPTV qui fait référence dans le monde (en 2013, 31% des foyers reçoivent la télévision par l’ADSL ou la fibre optique), la France se positionne comme le pays le plus avancé en matière de Cloud Gaming avec 3 plateformes fournies par des opérateurs d’IPTV (Bouygues Telecom, Orange et SFR) et un service accessible sur ordinateur (Metaboli).
Près de la moitié des services recensés sont disponibles via une offre multiplay, ce qui fait de l’IPTV le principal vecteur du Cloud Gaming. Grâce à un large écran haute définition, le téléviseur est le terminal le plus approprié pour le jeu vidéo car il offre l’expérience la plus immersive. Mais contrairement aux ordinateurs ou aux terminaux nomades, le téléviseur ne dispose pas de capacités de calcul permettant d’afficher des jeux vidéo. L’IPTV vient combler ce déficit en reliant le téléviseur à internet et s’impose comme le support privilégié des services de Cloud Gaming.
Baromètre du Cloud Computing en entreprises
20 septembreL’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait assez bien le positionnement des prestataires, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande des entreprises.
Quelles sont leurs attentes vis-à-vis des services Cloud ? Quels sont les domaines prioritaires dans lesquels elles comptent investir ? Et à quelle hauteur ? De même, alors que le Cloud soulève un certain nombre de difficultés techniques et organisationnelles, quels sont les freins perçus par les entreprises ? Sont-elles prêtes à changer leur mode de fonctionnement pour utiliser des services hébergés ?
A partir d’une enquête approfondie auprès de 600 entreprises, représentatives de la population des entreprises en France de 6 salariés et plus, Scholè Marketing a mesuré la pénétration des différents services de Cloud Computing : Infrastructure as a service (IaaS), Platform as a service (PaaS), Software as a service (SaaS) et Cloud Telephony.
36% des entreprises ont recours à une ou plusieurs solutions Cloud. Toutefois, peu d’entreprises connaissent le terme « Cloud Computing » et moins encore comprennent réellement de quoi il s’agit.
Observatoire des télécommunications en entreprises
15 juilletL’Observatoire des télécommunications en entreprises est paru. Il traite de tous les outils de communication en entreprise : téléphone fixe, téléphone mobile, communications électroniques, conferencing, outils collaboratifs, communications unifiées. L’étude s’appuie sur :
- Une enquête auprès de 900 entreprises (DSI, directions télécoms)
- Une enquête auprès de 500 salariés travailleurs sur écran
Perspectives des technologies P2P en entreprises
20 mai
Si les technologies Peer-to-Peer ont observé un énorme développement dans le cadre de protocoles de téléchargement, ou de téléphonie (Skype), existe-t-il des opportunités pour des services à usage professionnel en entreprise ? La technologie P2P, décentralisée est-elle compatible avec le minimum de centralisation exigé par des organisations ? Existe-t-il des domaines d’application privilégiés pour des technologies P2P ?
- Application collaborative d’entreprise décentralisée ;
- Réseau social grand public décentralisé ;
- Application dans le domaine de la santé (ajoutée) ;
- Humanitaire : gestion de désastres, renforcement des infrastructures ;
- Défense, sécurité, espionnage.
Une adoption significative des nouveaux outils de communication et de collaboration
10 octobreSelon les derniers résultats de l’Observatoire des Télécoms, les entreprises ont considérablement élargi le panel de leurs outils de communication et adopté de nouvelles solutions collaboratives (on parle aussi de communications unifiées). Au téléphone et au courrier électronique s’ajoutent désormais de multiples outils tels la messagerie instantanée ou les réseaux sociaux, services qui rencontrent un succès massif auprès du grand public. Mais si les entreprises semblent avoir franchi le pas, qu’en est-il des collaborateurs qui les composent ? Car au-delà des plans d’équipement mis en oeuvre pas les DSI se pose la question de l’adoption de ces nouveaux outils par les salariés. Comment ces nouveaux services sont-ils perçus ? Et plus avant quel est leur niveau d’adoption réel par les collaborateurs ? Pour répondre à ces questions, Scholè Marketing a mené une enquête auprès de 700 salariés et dirigeants d’entreprises pour comprendre leurs pratiques de travail et leurs usages des nouveaux outils de communication et collaboration.